François Asselineau avait tout prévu. À l'heure d'évoquer la moralisation de la vie politique, le candidat de l'UPR à la présidentielle a prôné un "président de la République respectable", refusant l'idée d'une "first lady" et d'un couple présidentiel qui verserait "dans le show-biz".
Il s'est aussi prononcé pour "un casier judiciaire vierge pour ceux qui se présentent à un mandat" et a proposé que "les partis politiques ne puisent plus être financés par des banques." "Ce sont les banques qui donnent après des instructions", a-t-il estimé.
Assurant que sa formation politique avait "zéro euro d'emprunt auprès des banques" et demandant "qu'aucun parti politique ne puisse bénéficier de prêt bancaire", il a listé les montants dus par certains de ses concurrents aux banques.
"Les Républicains ont 67 millions d'euros de dettes auprès des banques (...), le Front national a 9 millions de dettes auprès des banques (...), Nicolas Dupont-Aignan a 1,1 million de dettes auprès des banques (...), le PS a 13 millions de dettes auprès des banques", a-t-il lancé.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte