Julie Gayet et Valérie Trierweiler sont "deux cover-girls", analyse Jean-Louis Servan-Schreiber

INVITÉ RTL - Le patron de presse Jean-Louis Servan-Schreiber revient sur le traitement médiatique des rumeurs sur la vie privée de François Hollande, depuis les révélations du magazine "Closer".

Dans son numéro paru vendredi 10 janvier, le magazine Closer affirme que François Hollande entretient une liaison avec Julie Gayet

Crédit : AFP

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Jean-Louis Servan-Schreiber, co-fondateur de L'Express, était l'invité du Journal Inattendu présenté par Marie Drucker samedi 18 janvier. Il est revenu sur le traitement médiatique de "l'affaire Closer", qui annonce une supposée relation entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet.

"L'essentiel, qui réside bien sûr dans les annonces qui ont été faites mardi (le président donnait sa conférence de presse annuelle, ndlr), heureusement n'a pas été complètement occulté par les affaires un peu plus frivoles", a commenté le journaliste et écrivain.

JLSS pour le respect de la vie privée

Quant au traitement de ce "feuilleton médiatique" par la presse féminine, qui affiche Valérie Trierweiler et Julie Gayet en une de nombreux magazines, le patron de presse ne s'en étonne pas. "Il faut dire que ce sont de belles cover-girls, elles ont le look qu'il faut et cela fait de très belles couvertures. Comment résister ? A partir du moment où la digue a lâché, explique-t-il, c'est le moment ou jamais, médiatiquement, de saisir les lecteurs". Mais il existe selon lui un dommage collatéral : "C'est un peu répétitif".

Un sondage BVA pour I>Télé paru ce samedi montre que 75% Français approuvent le silence du président sur sa vie privée. Jean-Louis Servan-Schreiber est également de cet avis. "Je suis toujours impressionné par le bon sens des Français", a-t-il réagi.