L'État a-t-il cédé à la violence en Corse en ouvrant la voie à une autonomie de l'île ? "L'État a fait deux choses. À la fois il a entendu la jeunesse qui était en colère et son devoir c'est d'apporter une réponse. Et à la fois on sait que depuis des mois, l'État est en discussion avec la collectivité de Corse. Les discussions avaient débuté bien avant", rappelle sur RTL Jean-Charles Orsucci, maire LaREM de Bonifacio.
De son côté Hervé Fabre-Aubespy, porte-parole de Marine Le Pen et conseiller régional de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, estime que c'est un "recul" de l'État et "un changement de discours. Ce que le représentant de LaREM oublie de dire, c'est que c'est à l'approche de l'élection présidentielle que le président de la République a changé de discours. En 2018, il a dit 'pas d'autonomie' en Corse. Ce n'est pas digne, on ne joue pas avec les institutions".
"J'accuse le président de la République et le gouvernement d'avoir préparé ce discours à l'intention des Corses pour avoir plus de voix. On ne joue pas avec les institutions de la République", a-t-il rappelé.
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