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"Gilets jaunes" : Emmanuel Macron condamne les violences et les silences "complices"

En commentant le mouvement des "gilet jaunes", qui a célébré son premier anniversaire ce samedi, Emmanuel Macron a condamné le "nihilisme de la violence" de ceux qui selon lui "ont perverti" le mouvement.

Emmanuel Macron, le 18 novembre 2019
Crédit : ludovic MARIN / AFP
Esther Serrajordia & AFP
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Le premier anniversaire des "gilets jaunes" a été marqué par des violences, notamment dans certains quartiers de Paris, samedi 16 novembre.  Emmanuel Macron a condamné lundi soir "le nihilisme de la violence" de ceux qui selon lui "ont perverti" le mouvement des "gilets jaunes", ainsi que "les voix qui se taisent et deviennent complices". 


"Lorsque la haine s'abat et qu'au nom d'idéaux la destruction se joue dans la rue, trop de voix se taisent et deviennent alors complices, trop de voix laissent confondre des idéaux avec le nihilisme de la violence", a-t-il dit, sans plus de précision, lors d'une remise de décoration à l'ex-dirigeant communiste Robert Hue.

Il a en revanche loué la "fraternité sur les ronds-points" au début du mouvement, en décorant cette fois le président de l'Association des maires ruraux de France, Vanik Berbérian. Évoquant "la colère drapée dans le jaune de la détresse", il a salué un ami qui a su percevoir "l'aspiration française de nos concitoyens à la communauté" dans "ce mouvement spontané".

"Nous devons apporter des réponses"

"Au-delà des revendications où nous devons apporter des réponses, les Français en sortant de chez eux, en se réunissant sur les ronds-points, ont retrouvé en bien des endroits la chaleur des liens, la fraternité, l'entraide". Même si "d'aucun ont perverti cela et recherchent l'anomie, la violence", a dit le chef de l'État à Vanik Berbérian.

À lire aussi

Dimanche, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait déploré que le mouvement des "gilets jaunes" soit depuis plusieurs mois "gangrené par des ultras" de l'extrême gauche. Le numéro 2 de la France Insoumise Adrien Quatennens a lui déploré "un désordre sinon organisé, au moins maintenu" par le gouvernement qui a conduit, selon lui, aux violences samedi à Paris.

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