"C'était une blague corrézienne. Une bonne blague comme les aimait Jacques Chirac et comme les aime toujours François Hollande. Une blague qui à l’époque a fait rire tout le monde, sauf Nicolas Sarkozy", raconte Érci Zemmour. "En campagne pour sa réélection, le Président n'avait pas apprécié de voir l'ancien chef de l'État taper sur l’épaule de son adversaire et annoncer à la cantonade : 'Si je ne peux pas voter Juppé, je voterai Hollande !'", poursuit-il. "Cinq ans plus tard (...), on croit entendre la suite de sa blague", explique le journaliste : "Si je ne peux pas voter Juppé, parce qu’il a été battu à la primaire de la droite, et si je ne peux pas voter Hollande, parce qu’il ne se représente pas, alors je vote Macron".
"C'est la bonne blague qui a fait tant rire François Fillon quand on lui a appris que Christian Estrosi avait rencontré Emmanuel Macron", lance Éric Zemmour, qui précise : "Mais on ne sait pas s'il a ri d’incrédulité ou de désespoir". Selon lui, "la blague corrézienne s'exporte très bien, jusqu'au sud de la France".
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