Sylvie Reviriego, la dépeceuse de Tours

PODCAST - En décembre 1988, Sylvie Reviriego tue sa meilleure amie avant de la dépecer. Un cas unique dans les annales criminelles.

Image illustration de l'hôpital Trousseau à Tours

Crédit : GUILLAUME SOUVANT / AFP

L'INTÉGRALE - Sylvie Reviriego, la dépeceuse de Tours

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L'ENQUÊTE - Sylvie Reviriego, la dépeceuse de Tours

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Le 13 décembre 1988, au matin, deux sacs poubelles attirent l'attention d'une équipe d'agents d'entretien sur le parking de l'hôpital Trousseau à Tours. Les deux gros sacs fermés sont abandonnés à la vue de tous. A l'intérieur, ils découvrent des morceaux de corps. La police est prévenue.

Il s'agit du corps d'une femme. Le patron de la PJ de Tours penche tout de suite pour un crime. Des témoins sont interrogés, mais personne n'a vu quiconque déposer les sacs. Le lendemain, un autre sac est découvert dans une zone commerciale de Tours.

Les légistes indiquent que la femme a eu les veines des poignets profondément sectionnées à l'aide d'une lame fine comme un rasoir. L'autopsie indique la victime a absorbé une dose importante de neuroleptiques ainsi que d'autres médicaments. Impossible pour le moment d'identifier la victime.

Nos invités

Me Jean-Michel Sieklucki, ancien bâtonnier de Tours. Il fut l’avocat de Cyril Gendron, le fils de Françoise Gendron
Me Catherine Lison-Croze, avocate de Sylvie Reviriego au procès

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