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En prison depuis 3 ans, il croule sous les amendes pour excès de vitesse

Détenu depuis trois ans, Malik reçoit souvent des amendes pour excès de vitesse. En cause : des gendarmes de Marseille qui roulent avec sa voiture... Et tentent visiblement de faire un remake de "Taxi".

La prison de Fresnes (illustration)
Crédit : STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Amandine Bégot & La rédaction numérique de RTL
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Le monde à l'envers... Cette histoire, c'est celle de Malik. Il croule sous les amendes pour excès de vitesse, n'a presque plus de points sur son permis et pourtant, il ne conduit plus depuis presque 3 ans. Et pour cause : il est incarcéré depuis le 10 juin 2015.

Sa voiture, une Citroën DS 4 a même été saisie par la justice… C'est justement là tout le problème. Ce sont désormais les gendarmes de Marseille qui roulent avec, et visiblement bien trop vite.

Depuis 2011, la loi autorise en effet les forces de l'ordre à utiliser les véhicules saisis, mais rien n'est précisé au sujet d'éventuelles amendes. L'avocat du détenu a fait plusieurs démarches ; auprès de la gendarmerie, de la préfecture… En vain. Les joies de l'administration française ! C'est à lire ce matin dans le quotidien La Provence.

"Griezmann le magicien"

La Provence d’ailleurs "aux larmes…" ce matin. En cause : la défaite de l'OM hier soir, après la blessure de son capitaine Dimitri Payet. "Aux larmes", c'est aussi le titre de L’Equipe ce jeudi, avec une belle image tout de même : celle de Griezmann qui tente de réconforter son ami Payet.

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Sacré "Mozart du ballon rond et de la finition" par Franz Olivier Giesbert ce matin,  l'attaquant français est clairement l'homme de ce match aux yeux de la presse. "Le gros coup de Grizou" titre ainsi Le Progrès ; "Griezmann punit l'OM" surenchérissent les Dernières nouvelles d'Alsace. La presse espagnole, forcément, n'est pas en reste ; "Griezmann le magicien", titre le journal Sporte, contre "Magistral Griezmann" pour El Mundo Deportivo

La presse espagnole s'interroge ; où sera-t-il l'an prochain ? A l'Atlético ? Au Real Madrid  chez l'ennemi voisin, ou au Barça ? "Ce n'est pas le moment de parler de mon avenir", a pourtant dit le joueur hier, d'autant qu'avant la saison prochaine, il y a le mondial. "Surtout qu'il continue à gagner des finales, qu'il ne s'arrête plus", lance Vincent Duluc dans son édito de L'Equipe. "On a hâte", ajoute Le Parisien.

Hulot, "ministre des états d'âme" ?

Outre Griezmann, le quotidien revient également sur le cas Hulot, puisque le ministre de l'écologie a semé le doute hier en assurant qu’il ferait le bilan de son action cet été.

"Démissionnera ? Démissionnera pas ?" Le journal L'Opinion semble un brin agacé. "Vivement les vacances Monsieur Hulot", écrit Remi Godeau qui rebaptise ce matin le ministre d'état en "ministre des états d’âme". L'éditorialiste rappelle qu’en octobre, il se donnait un an pour juger de son utilité. "Il planifie désormais son bilan... dépôt de bilan ?, s'interroge-t-il. Ces doutes, exhibés, ces affres médiatisées, ce blues surexposé risquent bien de miner la cohésion du gouvernement".

"Être ministre, ajoute Bruno Dive dans Sud-ouest, c'est accepter le principe de réalité plutôt que celui de fragilité. C'est montrer des nerfs à toute épreuve, plutôt que disparaître à la première déconvenue". 

La bourse a la cote

Pas vraiment de blues en revanche du côté du CAC 40. Au contraire, si l’on en croit la Une du Figaro Economie : "la bourse efface dix années de crise". Porté par la bonne santé des entreprises, l'indice a atteint hier son plus haut niveau depuis fin 2007, avant la crise de 2008, à 5.567 points. 

Les bénéficies des entreprises devraient en effet grimper à un rythme plus modeste cette année que l'an dernier avec +7% en moyenne contre 20% en 2017. Par ailleurs, avec le retour de l'inflation, les banques centrales devaient se montrer plus sévères. De nouveaux chocs ne sont donc pas exclus... Vous voilà prévenus.

Licencié pour "trop de pauses pipi"

Enfin dans la série mésaventure, voici celle de Jean-Philippe Fenech. Après 18 ans de bons et loyaux services, cet agent du réseau de bus Luneo a été licencié... Pour "trop de pauses pipi", comme il le raconte ce matin dans les colonnes de L'Est Républicain. Faute de toilettes dans le petit local où il travaillait, il avait pris l'habitude de mettre une affichette sur l'entrée, où il était inscrit "fermeture temporaire". 

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