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OM-Atlético : Macron est-il vraiment un fan de l'Olympique de Marseille ?

Selon Gaspard Gantzer, interrogé par "Libération", Emmanuel Macron n'évoquait jamais l'OM lorsqu'il jouait au football à l'ENA.

Emmanuel Macron avec un maillot de l'OM floqué à son nom.
Crédit : BORIS HORVAT / AFP
La rédaction numérique de RTL & Amandine Bégot
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Libération fait sa une sur le choc du jour qui oppose l'Olympique de Marseille à l'Atlético de Madrid. Une confrontation également politique entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Les deux hommes apparaissent d'ailleurs bras dessus, bras dessous, maillot marseillais sur le dos, dans un montage très réussi par le quotidien.

L'un comme l'autre, chacun pour ses raisons, soutiendra l'OM. Mélenchon est considéré comme un nouveau fan, tandis que Macron le serait depuis toujours. C'est en tout cas ce le président de la République assure. Mais Libération est moins affirmatif. Dans les colonnes du quotidien, Gaspard Gantzer se souvient ainsi des match de foot des jeudis après-midi. Et dans les vestiaires, Macron n'a jamais parlé de Marseille, affirme l'ancien conseiller de François Hollande. Les deux hommes ne sont pas les seuls à vibrer pour Marseille, "comme si le cœur du football français battait là-bas", écrit Grégory Schneider, journaliste à Libération, dans son édito. 

"Marseille, c'est l'histoire de David contre Goliath"

Cette fièvre a d'ailleurs fait exploser les prix au marché noir. D'après le journal Le Progrès, les places pour le match se vendent à prix d'or, jusqu'à 1.000 euros le billet, soit 10 fois sa valeur de départ. Sans surprise, l’événement fait aussi ce matin la une de L'Équipe et de La Provence. Le quotidien marseillais se sent pousser des ailes. "Tous avec nos héros", titre le journal qui cite Invictus et ces vers que Mandela lisait comme un mantra au fond de sa prison : "Aussi étroit soit le chemin je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme."

OM-Atlético est à la une également, et c'est suffisamment rare pour être souligné, des Échos. Le quotidien économique interviewe le propriétaire du club marseillais, Franck McCourt. L'homme est bien décidé à rivaliser avec l'avenir du PSG, mais pas avec son carnet de chèques. "Marseille, c'est l'histoire de David contre Goliath. C'est une question de volonté de détermination, de cœur... et l'argent n'achète pas le cœur", conclut-il.

Rien ne va plus à la CGT

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Les Échos révèle ce matin que rien ne va plus à la CGT. Le syndicat a perdu 30.000 adhérents en quatre ans. La baisse enclenchée en 2015 après le départ de Thierry Lepaon et le scandale sur son train de vie s'est poursuivie et amplifiée. Selon un document auquel Les Échos a eu accès, la CGT est passée de 690.000 adhérents en 2013 à 664.000 en 2016. Et la centrale devrait encore en perdre 20.000 en 2017. La journaliste Leila de Comarmond y voit le signe que la stratégie de la centrale n'a pas convaincu. Et pas sur que la bataille autour de la reforme de la SNCF les aide à remonter la pente.

Le camembert, un joyaux du patrimoine en danger

Le camembert est un joyaux du patrimoine français en danger. Ce fromage risque tout simplement de disparaître, alerte le Courrier Picard. La faute, explique le journal, à un accord trouvé le 21 février dernier par les acteurs de la filière qui va permettre de fabriquer le célèbre fromage avec du lait pasteurisé. Honte, scandale, imposture... Ce fromage, de loin le plus connu dans le monde, risque en effet "de devenir une vulgaire pâte molle sans goût". Voilà ce qu'ont écrit les amoureux du camembert dans une tribune. Parmi eux, plusieurs chefs étoilés, dont Olivier Roellinger, Anne-Sophie Pic ou encore Michel et César Troisgros.

Le journal 20 Minutes évoque quant à lui les trains, mais au Japon. Là-bas, la compagnie ferroviaire a été obligée de présenter des excuses publiques à ses clients à cause d'un départ avant l'heure. Une erreur de 25 secondes. Le train au départ de Notogawa et à destination de Nishi Akashi prévu à 7h12, est en fait parti à 7h11 et 35 secondes. "Une faute vraiment inexcusable", écrit dans son communiqué l'entreprise, l'équivalent de notre SNCF.

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