Depuis qu’Elon Musk a racheté Twitter, le milliardaire a décidé de poser sa patte sur l’entreprise. Il a notamment décidé de lancer un gigantesque plan de licenciements qui devrait concerner près d’un poste sur deux (3.750 emplois), selon la presse américaine. À noter qu’une semaine après son arrivée, le patron de Tesla avait déjà limogé son conseil d'administration, le directeur général et d'autres responsables.
Selon l'agence Reuters, Elon Musk aurait demandé à ces équipes d'atteindre le milliard d'économies par an. Il s’est aussi lancé dans certains projets d’envergure qui ne trouvent pas vraiment de partisans au sein des utilisateurs. L'entreprise basée en Californie a temporairement fermé ses bureaux et notifié des milliers de personnes par courriel.
"J'ai appris à mon réveil que je ne travaillerai plus chez Twitter. J'ai le cœur brisé. Je n'arrive pas à y croire", a ainsi tweeté Michele Austin, la directrice des règlements pour les États-Unis et le Canada.
Pour son premier message depuis l’annonce des licenciements massifs, Elon Musk a voulu se justifier sur Twitter : "Il n'y a malheureusement pas d'autre choix quand l'entreprise perd plus de 4 millions de dollars par jour. Tous ceux qui ont perdu leur emploi se sont vus proposer trois mois d'indemnités", a-t-il assuré.
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