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Ekrem Imamoglu, le maire d'Istanbul, en mai 2023.
Crédit : Yasin AKGUL / AFP
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Une semaine après l'arrestation du maire d'Istanbul Ekrem İmamoğlu, la France met la pression sur la Turquie. La présidence française a appelé ce 25 mars à la libération du maire d'opposition de la plus grande ville du pays et a appelé la Turquie, où se déroule une contestation d'ampleur, à se comporter comme un "grand partenaire démocratique".
"Nous déplorons l'arrestation du maire d'Istanbul, nous souhaitons sa remise en liberté (...) La Turquie est un grand partenaire, mais nous voulons un grand partenaire démocratique", a déclaré un conseiller du président Emmanuel Macron lors d'un briefing avec des journalistes.
Sur place, après sept soirs consécutifs de manifestations d'ampleur, le chef du Parti républicain du peuple (CHP), principale force de l'opposition turque, a appelé à un très large rassemblement le 29 mars à Istanbul en soutien au maire emprisonné de la ville, Ekrem Imamoğlu.
"Serez-vous au grand rassemblement de samedi pour soutenir Ekrem Imamoğlu, pour vous opposer à (sa) détention (...) et dire que nous voulons des élections anticipées ?", a lancé mardi le chef du CHP, Özgür Özel, à une foule réunie devant la mairie d'Istanbul pour le septième soir consécutif.
Özgür Özel a précisé que ce rassemblement aurait lieu à la mi-journée sur un vaste terrain du quartier de Maltepe, sur la rive asiatique d'Istanbul, et non devant l'hôtel de ville.
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