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Guerre en Ukraine : "Nous voulons une paix robuste et durable", affirme Macron après la réunion des "volontaires"

Ce dimanche 17 août, la "coalition des volontaires", alliés de l'Ukraine, s'est réunie en visioconférence. Cet appel est survenue deux jours après le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump, et à la veille de la rencontre entre le président américain et Volodymyr Zelensky.

Emmanuel Macron à l'issue de la réunion de la "coalition des volontaires", le 17 août

Crédit : Philippe Magoni / POOL / AFP

La rédaction numérique de RTL

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Ce que nous savons pour l'instant
  • La visio-conférence de la "coalition des volontaires" co-présidée par Emmanuel Macron, est terminée. Les dirigeants européens se sont réunis pour évoquer le sommet entre Trump et Poutine de la veille, et la rencontre le président américain et Zelensky, prévue lundi 18 août.
  • La "coalition des volontaires" est un groupe de pays alliés de l'Ukraine. Elle comprend la majorité des grands pays européens, mais également le Canada, l'Union européenne et l'Otan.
  • Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a annoncé qu'elle se rendrait à Washington, lundi, aux côtés de Volodymyr Zelensky et de plusieurs dirigeants européens. Emmanuel Macron, Friedrich Merz, et le chef de l'Otan font notamment partie de cette délégation. 
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Macron "ne pense pas " que Vladimir Poutine veut la paix

Lors de sa prise de parole à l'issue de la réunion de la "coalition des volontaires", Emmanuel Macron a eu des mots forts à l'égard de la Russie. 

Il a estimé qu'"un seul État propose une paix qui serait une capitulation : la Russie". 

Le chef de l'État  a également directement ciblé Vladimir Poutine. "Est-ce que je pense que le président Poutine veut la paix ? Non", a-t-il affirmé.

"Nous voulons une paix robuste et durable ", insiste Macron

La réunion de la"coalition des volontaires" est terminée. À l'issue de cette visio-conférence qui aura duré près de deux heures, le président français s'est exprimé devant les journalistes. Il a rappelé que "les pays de la coalition des volontaires" souhaitent "une paix robuste et durable".

"Se joue en ce moment même un temps important du conflit et un temps important pour la sécurité de l'Ukraine et de toute l'Europe", a ajouté Emmanuel Macron. 

Selon lui, le premier objectif de demain consiste à "rappeler ce qui unit l'Ukraine, les Etats-Unis et l'Union européenne : la paix".

Début de la visio-conférence de la "coalition des volontaires"

Quelques minutes après la prise de parole de Volodymyr Zelensky, la visio-conférence de la "coalition des volontaires" a débuté. 

Emmanuel Macron co-préside cette réunion depuis sa résidence d'été du Fort de Brégançon (Var).

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Continuez de suivre l'événement et les réactions sur RTL.fr.

"Mensonge abject", la réaction de moscou aux déclarations de macron

Réagissant aux propos d'Emmanuel Macron sur une "capitulation" de l'Ukraine voulue selon lui par Moscou, la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a accusé le dirigeant français de "mensonge abject" sur Telegram. 

Selon elle, Moscou a proposé un "règlement pacifique" du conflit pendant sept ans dans le cadre des accords de Minsk qui avaient suivi l'annexion en 2014 de la Crimée ukrainienne par la Russie et le début d'une guerre dans l'est de l'Ukraine entre Kiev et des séparatistes soutenus par le Kremlin.

Maria Zakharova a également reproché au président français d'avoir fait miroiter à Kiev "une victoire sur le champ de bataille en comprenant parfaitement que c'est impossible", livré des armes à l'Ukraine et fait de "fausses promesses aux Ukrainiens".

l'avertissement d'emmanuel macron

Le président français s'en est pris aux "somnambules" qui "n'ont pas voulu voir la menace qui paraissait si loin aux confins de l'Europe" et "nous ont mené au désastre", lors d'une commémoration de l'anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas (Var), dressant un parallèle avec la guerre en Ukraine.

"La guerre est revenue en Europe et ceux qui pensent qu'elle est très loin, qu'elle ne nous concerne pas, sont les mêmes somnambules que ceux d'hier", a ajouté le président de la République, à la veille d'une rencontre à Washington entre les présidents américain Donald Trump et ukrainien Voldymyr Zelenski, à laquelle il assistera également ainsi que plusieurs responsables européens.

Zelensky salue la décision "historique" des états-Unis de vouloir apporter des garanties de sécurité à l'Ukraine

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé dimanche que la "décision" des états-Unis de fournir à l'Ukraine des "garanties de sécurité" pour arrêter la guerre avec la Russie était "historique", avant sa rencontre prévue lundi à Washington avec Donald Trump.

"Des garanties de sécurité, comme résultats de notre travail commun, doivent vraiment être très pratiques, fournir une protection au sol et dans les airs, en mer, et doivent être développées avec la participation de l'Europe", a indiqué sur les réseaux sociaux Volodymyr Zelensky, après une réunion en visioconférence de la "coalition des volontaires" regroupant des alliés de Kiev, dont Emmanuel Macron. 

"il faudra faire des concessions territoriales", analyse le journaliste Richard Werly

Quelques instants après la prise de parole d'Emmanuel Macron, Richard Werly, journaliste pour le quotidien suisse Le Blick, a décrypté les propos du président français. 

Selon lui, "il y a quand même, dans l’esprit des Européens, l’idée qu’à un moment, il faudra faire des concessions territoriales."

Son analyse dans RTL Soir ⤵️

"Poutine a toujours été un menteur", assure Le président de l'Union des Ukrainiens de France sur RTL

Invité de RTL Soir, le président de l'Union des Ukrainiens de France, Jean-Pierre Pasternak, estime qu'"on ne peut pas traiter avec le président russe". 

"Poutine a toujours été un menteur. La seule solution, c’est malheureusement de continuer. Les Ukrainiens ne font que ça : résister", affirme-t-il. 

Écoutez son intervention ⤵️

la prise de parole d'Emmanuel Macron

Revivez les déclarations du président français à l'issue de la réunion de la "coalition des volontaires".  ⤵️

Macron demande à ce que les Européens soient présents aux prochains sommets concernant l'Ukraine

Lors de la réunion prévue à Washington demain, avec Donald Trump, Emmanuel Macron souhaite porter" une Europe forte". 

Le président français réclame également à ce que les Européens soient présents aux prochains sommets concernant l'Ukraine.

Macron "ne pense pas " que Vladimir Poutine veut la paix

Lors de sa prise de parole à l'issue de la réunion de la "coalition des volontaires", Emmanuel Macron a eu des mots forts à l'égard de la Russie. 

Il a estimé qu'"un seul État propose une paix qui serait une capitulation : la Russie". 

Le chef de l'État  a également directement ciblé Vladimir Poutine. "Est-ce que je pense que le président Poutine veut la paix ? Non", a-t-il affirmé.

"Nous voulons une paix robuste et durable ", insiste Macron

La réunion de la"coalition des volontaires" est terminée. À l'issue de cette visio-conférence qui aura duré près de deux heures, le président français s'est exprimé devant les journalistes. Il a rappelé que "les pays de la coalition des volontaires" souhaitent "une paix robuste et durable".

"Se joue en ce moment même un temps important du conflit et un temps important pour la sécurité de l'Ukraine et de toute l'Europe", a ajouté Emmanuel Macron. 

Selon lui, le premier objectif de demain consiste à "rappeler ce qui unit l'Ukraine, les Etats-Unis et l'Union européenne : la paix".

Emmanuel macron va s'exprimer

À l'issue de la réunion de la "coalition des volontaires", le président français va prendre la parole. 

Alexander Stubb salue "un fort consensus"

Après avoir participé cet après-midi à la visioconférence de la "coalition des volontaires", le président finlandais a indiqué dans une publication sur X qu'" il existe un fort consensus parmi les pays de la Coalition sur la nécessité de continuer à soutenir l'Ukraine" et que "l'Europe et les États-Unis renforcent encore leur position commune". 

Marco Rubio menace la russie de nouvelles sanctions

Le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, menace la Russie de nouvelles sanctions si aucun accord n'est trouvé au sujet de l'Ukraine.

"En fin de compte, si nous ne parvenons pas à trouver un accord ici, il y aura des conséquences", a prévenu M. Rubio lors d'une interview à la chaîne NBC, évoquant la possible "adoption de nouvelles sanctions" contre la Russie.

DONalD TRUMP annonce de "grand progrès" avec la russie

Le président américain Donald Trump a fait état de "grands progrès" avec la Russie dans un message publié sur son réseau social, à la veille d'une rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky et ses alliés européens.

"De grands progrès sur la Russie. À suivre!", a posté le républicain sur Truth Social.

La Russie prête à faire des concessions ?

Selon l'émissaire de Donald, Steve Witkoff, Moscou a fait "des concessions" concernant cinq régions en Ukraine. Aucune autre précision n'a été apportée pour le moment. 

Il a également dit espérer une "réunion productive" demain avec Volodymyr Zelensky et les dirigeants européens.

Le Premier ministre suédois ne se rendra pas à washington

Selon l'agence Reuters citant un porte-parole du Premier ministre suédois Ulf Kristersson, ce denier participe à la visioconférence de la coalition des volontaires. En revanche, il ne prendra pas part au voyage à Washington demain avec d'autres dirigeants européens, d'après la même source.

Début de la visio-conférence de la "coalition des volontaires"

Quelques minutes après la prise de parole de Volodymyr Zelensky, la visio-conférence de la "coalition des volontaires" a débuté. 

Emmanuel Macron co-préside cette réunion depuis sa résidence d'été du Fort de Brégançon (Var).

Volodymyr Zelensky s'exprime à son tour

Dans la foulée, le président ukrainien s'est également exprimé. 

"Il est important de parler ensemble aux États-Unis. Aujourd'hui, nous allons décider de e dont nous allons parler à Washington. (...) Nous devons arrêter les tueries mais Poutine a beaucoup d'exigences et il y a besoin de temps. Nous ne pouvons le faire sous la pression des armes donc il faut un cessez-le-feu. Poutine ne souhaite pas arrêter les massacres", a déclaré Volodymyr Zelensky.

"De par la Constitution de l'Ukraine, il est impossible d'abandonner ou de céder des territoires. La question des territoires doit être abordée", ajoute le président ukrainien.

Prise de parole d'Ursula Von der leyen

La présidente de la Commission européenne s'est exprimée en marge de sa rencontre avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à Bruxelles. 

"Il faut avoir des garanties de sécurité fortes pour protéger la souveraineté de l'Ukraine et les intérêts vitaux de l'Europe (...) Nous nous réjouissons que le président américain veuille apporter des garanties similaires à l'article 5 de l'Otan et la coalition des volontaires est prêt à prendre sa part."

Elle a ajouté que " l'Ukraine doit préserver son intégrité territoriale". 

Cinq morts et quatre blessés dans des frappes russes

L'administration militaire de l'oblast de Donetsk a annoncé sur Telegram que les frappes russes menées samedi 16 août ont fait cinq victimes et quatre blessés. La situation sur le terrain continue de se détériorer, tandis que l'intensification des combats reste une réalité quotidienne pour la région.

Poutine et Loukachenko ont échangé après le sommet en Alaska

Vladimir Poutine a eu un entretien téléphonique avec Alexandre Loukachenko, président biélorusse, pour évoquer la situation régionale à la lumière des discussions récentes en Alaska. Selon le service de presse du président biélorusse via sa chaîne Telegram.

"Les deux présidents ont discuté de la situation dans la région à la lumière des discussions en Alaska. Poutine a informé en détail son homologue biélorusse des résultats du dernier sommet russo-américain", a indiqué le service de presse.

Une force de "réassurance" pour l’Ukraine ?

Parmi les objectifs de cette "coalition des volontaires", "il y aura certainement une réflexion sur comment maintenir sérieusement l’Ukraine en capacité de combat", assurer la "régénération de l’armée ukrainienne" et déployer "le moment venu une force de réassurance dans le cadre d’un cessez-le-feu", a précisé l’Élysée ce samedi 16 août en amont de cette visioconférence dans un communiqué.

Cette "force de réassurance", encore à l’état de projet, pourrait un point clé de la réunion prévue à 15h. 

un oubli embarrassant en pleine rencontre en Alaska

Au moment de la préparation du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, des documents sensibles ont été retrouvés dans une imprimante publique à Anchorage, vendredi 15 août. Selon une porte-parole de la Maison-Blanche, Anna Kelly, ces documents ne représentent "aucune faille de sécurité" et étaient simplement un "menu de déjeuner de plusieurs pages".

Volodymyr Zelensky est arrivé à Bruxelles

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, est arrivé à Bruxelles pour une visioconférence cruciale avec les pays alliés de l'Ukraine. Accompagné d’Ursula von der Leyen, il prépare les discussions à venir avant son sommet avec Donald Trump ce lundi.

La conférence, prévue à 15 heures ce dimanche, pourrait marquer un tournant important.

quel est l'objectif de la délégation qui accompagnera zelensky à washington ?

En quelques heures, la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, prévue lundi à Washington, a pris un nouveau tournant. En effet, une délégation européenne s'est organisée autour d'Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour accompagner le président ukrainien à la Maison-Blanche. Alors qu'Emmanuel Macron en fait partie, quel est vraiment le but de ces dirigeants ? Réponse ici ! 

le Premier ministre britannique ira à la maison-blanche

Keir Starmer, se rendra lundi à Washington, avec plusieurs autres dirigeants européens, pour accompagner le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors de sa rencontre avec Donald Trump, a annoncé Downing Street dimanche.

Lors de cette rencontre, Keir Starmer, avec les autres dirigeants européens, "réaffirmera que son soutien à l'Ukraine se poursuivra aussi longtemps que nécessaire", selon un communiqué de Downing Street.

donald trump critiqué par la presse mondiale

Une revue de presse internationale permet de faire un tour d'horizon des réactions autour de la guerre en Ukraine. Pour la presse européenne, le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine est un désaveu. Le président américain est au cœur des critiques. La BBC pointe notamment "un changement radical de position", tandis que le Washington Post va plus loin en parlant de "rupture" avec l'Ukraine, tout comme le New York Times, qui voit un "retournement historique".

En Ukraine, la rencontre entre Donald Trump et les Européens génèrent très peu d'espoirs. "Poutine s'est essuyé les pieds sur le président américain", écrit le quotidien ukrainien Gazeta. La presse russe, qui n'est pas libre, évoque assez peu la réunion à venir. Par rapport au sommet, La Pravda loue une "victoire diplomatique (...) qu'on retrouvera dans les livres d'histoire".

le plan de trump "ouvre la porte à la Troisième Guerre mondiale"

Pour Oksana Melnitchouk, le plan évoqué par Donald Trump lors du sommet en Alaska est "inaudible parce que ça ouvre la porte à la Troisième Guerre mondiale". Elle juge que la première chose à faire est un cessez-le-feu, avant d'éventuelles négociations. 

Zelensky peut-il faire mieux que lors de sa dernière venue à la maison-blanche ?

En février dernier, lorsque Volodymyr Zelensky s'est rendu dans le Bureau ovale, l'échange avec Donald Trump a tourné court, virant rapidement à la mise en scène politique du président américain et au clash. Le président ukrainien était parti précipitamment. Comment la discussion peut-elle être différente lundi à Washington ? 

Déjà, Zelensky ne sera plus seule. Une véritable délégation s'est mise en place autour de lui, notamment menée par Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, Emmanuel Macron, Friedrich Merz, chancelier allemand, ou encore Mark Rutte, chef de l'Otan. 

"Zelensky s'est comporté avec beaucoup de dignités. C'est ce qui a soudé toute l'Europe et toute la communauté internationale autour de lui", estime  Oksana Melnitchouk, politologue ukrainienne, au micro de RTL. Selon elle, "Trump est en position de faiblesse".

Giorgia Meloni également présente aux états-Unis

La présidente du Conseil des ministres italien, Giorgia Meloni, ira également aux États-Unis lundi avec Volodymyr Zelensky et le reste de la délégation européenne.

le chef de l'Otan ira également aux états-Unis lundi

Mark Rutte, secrétaire général de l'Otan, fait aussi partie de la délégation qui se rendra à la Maison-Blanche lundi, aux côtés de Volodymyr Zelensky, pour rencontrer Donald Trump.

"Trump a joué le rôle d'idiot utile de Poutine", selon une politologue ukrainienne

"Donald Trump a joué parfaitement le rôle d'idiot utile de Poutine et de ses exigences", juge Oksana Melnitchouk, politologue ukrainienne, au micro de RTL. Selon elle, le président américain a vécu "une humiliation" lors de ce sommet avec son homologue russe.

Macron se rendra aussi à washington

L'Élysée a annoncé qu'Emmanuel Macron se rendra également à la Maison-Blanche, lundi. "Le président de la République se rendra demain à Washington aux côtés du président Zelensky et de plusieurs dirigeants européens afin de poursuivre le travail de coordination entre les Européens et les États-Unis dans le but de parvenir à une paix juste et durable qui préserve les intérêts vitaux de l'Ukraine et la sécurité de l'Europe", a communiqué la présidence française.

La Russie et l'Ukraine s'attaquent avec des drones

Selon l'état-major de l'armée ukrainienne sur sa page Facebook, les Russes ont mené 68 frappes aériennes et largué 127 bombes guidées. 


En Russie, le ministère de la Défense a déclaré de son côté que Kiev avait lancé 46 drones sur le pays, principalement au-dessus des régions frontalières mais également sur la région de Nijni Novgorod, à l'est de Moscou et à des centaines de kilomètres de l'Ukraine.

le président finlandais ira aussi à la maison-blanche

Dans la foulée, le président finlandais Alexander Stubb a assuré qu'il se rendra à Washington lundi avec Volodymyr Zelensky.

le chancelier allemand sera à washington lundi

Le chancelier allemand, Friedrich Merz, a confirmé, ce dimanche, qu'il se rendra à Washington lundi en compagnie de Volodymyr Zelensky pour rencontrer Donald Trump. Plus tôt, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, avait aussi annoncé sa venue.

Trump face à Zelensky : un ultimatum sur le Donbass à la Maison Blanche ?

Ce lundi 18 août, Donald Trump rencontre Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche. Selon le New York Times, le président américain aurait l'intention de convaincre son homologue ukrainien de céder le Donbass à la Russie.

von der Leyen se rendra à washington avec zelensky

Dans ce même message, Ursula von der Leyen annonce qu'elle se rendra à Washington, lundi, aux côtés de Volodymyr Zelensky. Ils vont tous deux rencontrer Donald Trump pour évoquer le futur de la guerre en Ukraine. "À la demande du président Zelensky, je participerai demain à la réunion avec le président Trump et d’autres dirigeants européens à la Maison Blanche", écrit-elle.

Zelensky sera présent à bruxelles ce dimanche

Volodymyr Zelensky sera bien présent à Bruxelles (Belgique), ce dimanche après-midi pour la visioconférence avec les dirigeants européens. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a annoncé sa venue sur X.

Vers un sommet tripartite en Europe ?

Le sommet entre les présidents américain Donald Trump, ukrainien Volodymyr Zelensky et russe Vladimir Poutine pourrait se tenir en Europe, a suggéré samedi 16 août le chancelier allemand, malgré le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) visant Poutine.

"Je pense […] qu’une telle rencontre tripartite aura lieu. La date et le lieu restent à déterminer […] Nous avons proposé qu’un tel lieu puisse se trouver en Europe", a déclaré Friedrich Merz dans un entretien aux chaînes allemandes NTV et RTL, diffusé samedi, dont l’AFP a obtenu le verbatim en avance.

SUR RTL, Nicolas Tenzer remet en cause les positions de donald trump

Invité sur RTL, ce dimanche matin, Nicolas Tenzer est revenu sur le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, dont le président russe semble sorti vainqueur. Selon ce spécialiste des questions géostratégiques et enseignant à Sciences Po, le président américain épouse "totalement" le discours de son homologue russe.

"On retrouve un Trump de la situation qu'on connaissait il y a cinq mois dans le Bureau ovale. On se rappelle, en février 2025, qu'il avait injurié Zelensky", souligne-t-il. Nicolas Tenzer pense même que Donald Trump recule "complètement" après cette réunion.

"Je ne suis pas démoralisé", assure Frédéric Petit sur rtl

Frédéric Petit, député MODEM de la 7e circonscription des Français établis à l'étranger, était invité au micro de RTL, ce dimanche matin. "Je ne suis pas démoralisé, si je devais être démoralisé, je le serai depuis onze ans, depuis le début de la guerre. Je n'avais aucune attente particulière (du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine), j'étais plutôt inquiet qu'il y ait des résultats bizarres", a-t-il déclaré, soulignant que l'Ukraine reste toujours sous l'assaut des attaques russes.

Zelensky fustige le refus de la russie d'un cessez-le-feu

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé le refus de la Russie d'appliquer un cessez-le-feu. "Nous voyons que la Russie rejette de nombreux appels au cessez-le-feu et n'a pas encore déterminé quand elle cessera de tuer. Cela complique la situation. Si elle n'a pas la volonté d'exécuter un simple ordre d'arrêter ses frappes, il pourrait falloir d'importants efforts pour inciter la Russie à vouloir appliquer quelque chose de bien plus important: une coexistence pacifique avec ses voisins pour des décennies", a-t-il écrit sur ses réseaux sociaux dans la nuit de samedi à dimanche.

Bienvenue sur ce live

Cette journée du dimanche 17 août sera marquée par la réunion de la "coalition des volontaires", menée par la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne. Elle se réunit au lendemain de la rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump.

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