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Une salle de bain (illustration).
Crédit : thinkstock/haveseen
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Toutes les installations électriques de la salle de bains sont obligatoirement étanches, et reliées à la prise de terre du logement. En ce qui concerne les circuits d'éclairage, ceux-ci doivent être protégés par un disjoncteur différentiel de 30 mA qui permet la coupure automatique du courant en cas de fuite. En outre, les luminaires doivent être prémunis contre les projections d'eau. Il ne faut employer que des équipements bénéficiant de la norme NF Électricité.
La réglementation en vigueur divise la salle de bains en quatre volumes distincts (de 0 à 3). Dans le volume 0, qui correspond à la salle de bains ou au receveur de douche, aucun circuit électrique n'est autorisé. Dans le volume 1, c'est-à-dire l'espace situé au-dessus de la baignoire et de la douche jusqu'à une hauteur de 2,25 mètres, des luminaires en basse tension (inférieure à 12 v) sont admis. Dans le volume 2, qui correspond à la zone située à moins de 60 cm de la douche ou baignoire, vous pouvez installer des appareils électriques de classe I et II. Idem dans le volume 3, c'est-à-dire le reste de la pièce, qui accueillera également le transformateur et l'interrupteur général de la salle de bains.
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