La chronique de Laurent Gerra du vendredi 26 octobre

Alors que se profile le passage à l'heure d'hiver, Valéry Giscard d'Estaing est particulièrement ému. "J'ai pas l'habitude de laisser paraître mes émotions mais chaque année, quand vient le moment d'avancer les horloges, pour passer de l'heure d'été à l'heure d'hiver, ça me fait quelque chose. Ça m'émeut", explique-t-il rappelant qu'il est à l'origine de ce changement. "Le changement d'heure, c'est mon fils ma bataille, le fruit de mes entrailles", dit-il sur l'air célèbre chanson de Daniel Balavoine.

"Le rugby, comment ça marche ?", questionne Michel Chevalet, avant de répondre lui-même à la question. "C'est pas compliqué. Après une sorte de parade amoureuse, le haka, l'équipe avec la balle doit défoncer l'équipe qui n'a pas la balle alors que l'équipe qui n'a pas la balle doit essayer d'attraper celle-ci avant que l'équipe qui a la balle ne la mette entre deux poteaux", détaille-t-il. Mais Michel Chevalet n'est pas le seul à avoir une idée précise sur ce sport. Philippe de Villiers et Jean-Marie Le Pen ont aussi leur avis. 

Jean-Pierre Raffarin et la Chine, c'est une histoire qui dure. "Bien sûr que je travaille, très vénérable Président. Je m'échine", assure l'ancien Premier ministre au téléphone. "Je t'appelle car j'ai reçu tes bouteilles", poursuit-il. Mais autant le dire tout de suite, l'ancien pensionnaire de Matignon ne semble guère convaincu par ce vin confectionné en Chine.