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"Mère parfaite", la pression de la société
Les femmes sont souvent aux prises avec la culpabilité dès l'annonce de la grossesse. Une idéalisation de la maternité qui pèse sur les mères.
Caroline Dublanche
Crédit : RTL
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Il y a 17 ans, le mari d'Anne l'a quittée pour une amie de la famille. Anne s'est retrouvée seule avec ses 4 enfants après 28 ans de mariage. Elle a recroisé cette femme pour la première fois cette année. Aujourd'hui encore, Anne ressent de la jalousie vis à vis de cette femme car elle voit ses enfants et ses petits-enfants.
La fille de Nelly a décidé de faire un don d'ovocytes. Nelly ne remet pas en cause sa décision, mais elle a peur pour la santé de sa fille. En effet, cette dernière a eu de graves complications il y a 5 ans lors d'un accouchement. Travaillant dans le médical, Nelly est très angoissée par l'anesthésie de sa fille car elle s'imagine le pire.
Bruno a été médecin et comprend la position de Nelly.
Michel est veuf depuis le moi de mai. A 82 ans, il a décidé de faire l'expérience des sites de rencontres. Très dynamique, Michel est très déstabilisé par cette expérience.
Candice a accouché de jumeaux il y a 5 mois. Entre confinement, angoisses transmises par son médecin, et complications durant l'accouchement, Candice a l'impression de ne pas avoir offert une arrivée au monde sereine à ses enfants.
Dans "Parlons-Nous" entre 22h et 0h30, la psychologue Caroline Dublanche recueille les confidences des auditeurs de RTL.
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