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Harry et Meghan se présentant officiellement comme des fiancés
Crédit : Sipa
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Demain, samedi 19 mai, sur RTL, l’événement sera bien sûr le mariage royal avec une édition spéciale dès 12h30. Un mariage qui "bouscule la monarchie britannique", comme le dit ce matin Le Figaro. Un prince qui épouse une métisse, divorcée et qui plus est américaine... L'Opinion y voit écrit le "symbole de la modernisation de la famille royale".
Un moyen également de faire évoluer les mentalités car, si aujourd'hui en Grande-Bretagne, un couple sur dix est mixte, 12% des britanniques condamnent cette union entre Harry et Meghan. Un anglais sur quatre reconnait même ne pas souhaiter une chose pareille pour ses enfants.
En tout cas, Outre-Manche, l’événement fait la une de tous les journaux. L'image des futurs mariés, quittant Londres pour Windsor est partout ce 18 mai : à la une des tabloïds comme le Sun et le Daily Mirror, mais aussi de la presse "sérieuse" comme le Times, le Guardian, ou encore le Daily Telegraph.
Il faut dire que ce mariage fait vendre, et pourrait rapporter gros... Plus d'un milliard de livres sur l'année, rapporte le quotidien Les Echos, soit un milliard et 140 millions d'euros. Il y a bien sûr les produits dérivés : les mugs, les timbres, les t-shirts, mais aussi des préservatifs à l'effigie des mariés, vendus 14 dollars le pack, dans un étui bleu. Le nom de l’entreprise qui les commercialise ? Crown Jewels ; les bijoux de la couronne, en français.
Aux 50 millions de livres que devraient rapporter tous ces produits dérivés, s'ajouteront les ventes de boissons et d'alimentation. Lors du mariage de Kate et William en 2011, les spécialistes avaient chiffré à 500 millions de livres les retombées sur les dépenses des ménages. Ce mariage a aussi, toujours selon Les Echos, dopé le tourisme. En effet, rien que pour ce week-end le nombre de passagers voyageant en Eurostar a bondi de 24% par rapport au même week-end l'an dernier. Enfin, autre chiffre colossal : l'événement pourrait être suivi par quelques deux milliards de téléspectateurs dans le monde.
A propos de télévision, le candidat de Koh-Lanta soupçonné d'agression sexuelle sort de son silence. Dans une interview accordée au magazine Télé Star, Eddy Guyot répète qu'il est innocent. "J'ai suivi les policiers et, comme je n'ai rien à cacher et que je suis innocent, je n'ai même pas attendu que mon avocat arrive pour commencer à m'expliquer, raconte-t-il. Tous les soirs lors du tournage, j'ai dormi entre un homme et la paroi de la cabane".
D'après lui, Candide, celle qui l'accuse, était plus loin. "Quand les cameramans sont revenus dans la nuit pour nous filmer, je me suis réveillé et Candide était à moitié sur moi. Ça a été filmé et ça me disculpe complètement", assure Eddy Guyot.
La presse nous donne aussi des idées pour notre week-end. Par exemple une sortie à Paris dans le quartier de la Villette, à la découverte des vestiges des abattoirs parisiens. Inaugurés en 1867, ils s'inscrivaient dans le cadre d'un projet hygiéniste puisqu'ils mettaient fin à des années d'équarrissage au beau milieu de la voie publique.
Mais très vite, ces abattoirs sont devenus le théâtre d'activités très louches... Au début du vingtième siècle, les jeunes mères n'hésitaient pas à payer très cher pour un bon bol de sang chaud, le parfait remède de l'époque pour ragaillardir les enfants anémiés. Une idée du numéro hors-série du Parisien, consacré au Paris d’Haussmann, qui sera d'ailleurs le thème de l'émission La curiosité est un vilain défaut cet après-midi, sur RTL
Enfin, si l'on en croit Libération, la nature telle qu'on la connait aujourd'hui ne sera peut-être bientôt plus qu'un lointain souvenir. Sur les 7.000 espèces animales et végétales répertoriées aujourd'hui en France, un tiers sont menacées. Parmi elles on compte : l'abeille, l'alouette des chant, le martin-pêcheur et même le hérisson et le ver de terre.
En effet, l'allolobophora rosea, l'une des 150 espèces de lombrics présentes en France a vu sa population divisée par quatre à cause de l'agriculture intensive. "Réveillons-nous pour enrayer la catastrophe", lance Paul Quinio dans son édito. "On ne pourra pas toujours s'en tirer, il n'y a pas de planète B", s’inquiète de son coté le président du Musée d'histoire naturelle.
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