4 min de lecture
Un micro RTL
Crédit : RTL
Je m'abonne à la newsletter « Infos »
Ce mardi soir, le PSG et Chelsea s'affrontaient en huitième de finale aller de la Ligue des Champions. Les Parisiens ont encore concédé un match nul. Ce résultat (1-1) place les Londoniens en ballottage favorable, en vue de leur prochaine confrontation le mercredi 11 mars prochain, à Stamford Bridge.
Renforcé par les arrivées de Cesc Fabregas, le stratège du FC Barcelone, et de Diego Costa, le buteur de l'Atlético Madrid, les Blues avaient l'avantage pour ce match. Et c'est sans grande surprise que Chelsea a trouvé la faille sur son premier tir cadré du match, à la 36ème minute. À la réception d'un centre de Terry venu de la gauche et dévié par Cahill, Ivanovic a trompé Sirigu d'une tête idéalement placée.
Malgré l'ouverture du score par les Londoniens, les Parisiens sont revenus à leur hauteur en début de la seconde période. Cavani a remis les deux formations à égalité sur un but de la tête après un centre millimétré de Matuidi, à la 54ème minute.
Invité du 20h de TF1, Manuel Valls a défendu sa décision, prise avec François Hollande, d'utiliser le 49-3 pour faire adopter la loi Macron. Le Premier ministre a déclaré qu'il a éffectué ce passage en force car il ne voulait pas "perdre du temps avec ceux qui ont d'autres objectifs" que l'intérêt des Français. Il a aussi ajouté que la France "a besoin d'autorité", jugeant que son ministre de l’Économie Emmanuel Macron avait "bien travaillé".
Cet après-midi, le gouvernement avait approuvé cette procédure au cours d'une réunion d'urgence. Manuel Valls a donc annoncé ce mardi, dans l'hémicycle, qu'il engageait la responsabilité de l’exécutif sur le projet de loi Macron. Le Premier ministre a expliqué qu'il faisait ainsi jouer l'article 49-3 de la Constitution, car il ne voulait pas prendre "le risque d'un rejet" du texte, sur lequel la majorité était "incertaine".
Suite à l'utilisation du 49-3, la loi Macron est ainsi considérée comme adoptée sans vote. Cependant, l'opposition peut mettre un terme à son application en déposant une motion de censure contre le gouvernement.
Cette contre-attaque de l'UMP ne devrait pas tarder même si le parti dispose de 24 heures pour le faire. Christian Jacob a en effet annoncé durant les questions au gouvernement de ce mardi qu'il aurait recours à cette alternative contre le gouvernement si ce dernier prenait la décision de recourir à l'article 49-3 sur la loi Macron. Le patron des députés UMP a aussi indiqué qu'il s'y emploiera dès 18 heures en vue d'un vote jeudi auquel l'UDI sera convié.
Les réquisitions du parquet dans
l'affaire du Carlton sont favorables à Dominique Strauss-Kahn. Au
lendemain de l'abandon des charges par plusieurs parties civiles, le
ministère public a requis ce mardi 17 février la relaxe "pure
et simple" de l'ancien patron du FMI.
"Ni l'information judiciaire, ni
l'audience" n'ont permis d'établir l'infraction de proxénétisme
aggravé pour DSK, a déclaré à l'issue de son réquisitoire le
procureur de la République de Lille, Frédéric Fèvre. Pour le
magistrat, Dominique Strauss-Kahn n'a jamais organisé de soirées
coquines et il n'en avait d'ailleurs pas le temps vu son emploi du
temps à la tête du FMI. Il n'en a obtenu aucun avantage financier,
n'a jamais payé de prostituées lui-même et n'en a pas procuré à
autrui.
Poursuivi pour proxénétisme aggravé,
l'ancien ministre pourrait donc être totalement blanchi. Il devra
toutefois attendre plusieurs semaines pour savoir s'il est réellement
mis hors de cause. À l'issue des plaidoiries des avocats qui
débuteront ce mercredi, le jugement sera mis en délibéré vendredi
soir.
La cour d'appel de Paris a annulé ce
mardi l'arbitrage controversé en faveur de Bernard Tapie, dans le
conflit qui l'oppose depuis 1994 au Crédit Lyonnais. L'homme
d'affaires avait reçu 403 millions d'euros en 2008 pour solder ce
vieux litige. Le parquet va reprendre le dossier.
Rappelons que cet arbitrage est au cœur
d'une enquête pénale. Les juges financiers soupçonnent que la
sentence favorable à l'ex-président de l'OM est le fruit d'un
"simulacre d'arbitrage". Six personnes, dont Bernard Tapie,
son avocat, Maurice Lantourne, et l'un des juges, Pierre Estoup, ont
été mises en examen pour escroquerie en bande organisée.
Les gardes à vue des cinq mineurs,
âgés de 15 à 17 ans, soupçonnés d'avoir saccagé le cimetière
juif de Sarre-Union (Bas-Rhin), ont été prolongées par le parquet
de Saverne. Ils sont interrogés depuis lundi pour "profanation
de sépultures" et "dégradations commises en réunion",
des faits qui leur font encourir jusqu’à sept ans
d’emprisonnement.
"La justice dira ce qui relève de
l'inconscience, de l'ignorance ou de l'intolérance", a estimé
François Hollande, qui s'est rendu ce mardi sur place pour une
cérémonie d'hommage. Le chef de l'État a ensuite souligné que les
profanateurs ont dû faire preuve d'"acharnement" pour
saccager 250 tombes, alors que les cinq mineurs se défendent de tout
acte antisémite.
Un obus anglais de 250 kg datant de la
Seconde Guerre mondiale a été découvert sur un chantier situé à
proximité des voies aux environs de la gare de Noisy-le-Sec, à 8 km
de Paris-Est. La découverte de l'engin explosif a gelé le trafic
ferroviaire au niveau de la gare de l'Est. L'équipe de déminage a
neutralisé le projectile dans la soirée.
Par ailleurs, de nombreux voyageurs ont
été obligés d'emprunter de longs détours pour pouvoir rentrer
chez eux en banlieue. Le retour à la normale du trafic est prévu
mercredi matin.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte