Le journal de 11h : la révision de la Constitution au menu du Conseil des ministres
REPLAY - La déchéance de nationalité ne fera pas partie du projet de révision de la Constitution.
Ce mercredi matin 23 décembre, le gouvernement se réunit au complet pour préparer son "projet de loi constitutionnelle de protection de la nation". Un objectif : inscrire l'état d'urgence dans la Constitution. La déchéance de nationalité a en revanche été abandonnée au grand soulagement de certains. Le secrétaire national du Parti de Gauche, Alexis Corbière, s'est félicité de l'annonce par Christiane Taubira de cet abandon, reprochant toutefois à la garde des Sceaux de ne pas l'avoir faite dans un média français.
À écouter également dans ce journal
- Une Française de 23 ans convertie à l'islam et son compagnon de 35 ans, tous deux de Montpellier, sont en garde à vue depuis lundi soir dans une enquête antiterroriste menée à Paris. Les enquêteurs ont découvert un faux ventre de femme enceinte qui pourrait servir à dissimuler des objets, recouvert d'une couche d'aluminium dont, selon Midi Libre.
- Un projet d'attentat a été déjoué la semaine dernière dans la région d’Orléans, a annoncé mardi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Deux jeunes Français voulaient s'en prendre aux forces de l'ordre.
- Il avait décapité son patron et attaqué un site gazier en juin en Isère : Yassin Salhi, qui avait recouru à une mise en scène islamiste, s'est suicidé mardi soir dans sa cellule de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis.
- Une femme a été tuée et une autre blessée après une explosion à l'origine inconnue survenue dans la nuit de mardi à mercredi dans le deuxième aéroport international d'Istanbul, Sabiha Gökçen.
- Au moins 13 migrants, dont sept enfants, sont morts noyés au large de l’ilot grec de Farmakonissi après le chavirage de leur embarcation venant des côtes occidentales turques.
- Un homme s'est gravement blessé en chutant du sapin installé devant le marché de Noël de Caen, place Saint-Sauveur, dans la nuit du mardi 22 au mercredi 23 décembre 2015. Il a chuté de plus de 5 mètres.
-Le troisième patient implanté d'une prothèse du cœur artificiel Carmat est mort d'un arrêt respiratoire vendredi dernier, mais la prothèse n'est pas impliquée dans son décès, lié à une insuffisance rénale chronique, a annoncé mardi la société.
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