La chronique de Laurent Gerra du 4 mai 2023
Ce jeudi 4 mai, Laurent Gerra a notamment imité Olivier Véran, John Rambo et Renaud.
Olivier Véran multiplie les rendez-vous avec des économistes, des sociologues et autres spécialistes. De quoi faire dire à certains qu’il se préparerait pour 2027. Bonjour monsieur Véran… : "Bonjour mademoiselle Jade, bonjour aux auditeurs et aux auditrices, mes chers compatriotes, bonjour." Ah oui dites-donc vous êtes déjà en campagne ! : "Ecoutez, entre Edouard Philippe, Gérald Darmanin, Bruno Le maire, tout le monde va vouloir y aller. Et depuis qu’elle a posé dans Playboy, même Marlène Schiappa rêve de se prendre un bulletin dans l’urne. Alors autant démarrer tout de suite, ce sera bientôt l’embouteillage."
Joe Biden a annoncé sa candidature à sa propre succession en 2024. Le président américain aura 82 ans pour l’élection. Faisons le point avec notre spécialiste des Etats-Unis, John Rambo… : "J’te sens moqueuse, cuisse de grenouille, quand tu parles de papy Joe… T’aurais pas dans l’intention de te foutre de son dentier, sa moumoute et sa hanche en plastique ?" Pas du tout… Mais avouez que son âge peut poser problème. S’il est réélu, il terminera son deuxième mandat à 86 ans… : "Et alors ? Il est en pleine bourre, mon Joe !"
Le restaurant le Chalet des îles à Paris propose depuis un an les services d’un "sobrelier", un sommelier qui propose des boissons sans alcool. Notre ami Renaud est allé y dîner, bonjour Renaud…: "Bonjour mademoiselle Orangeade, en effet, j’ai fait tout un dîner sans alcool, et franchement, j’ai pas senti la différence…" Ah oui, et vous avez mangé quoi ? : "En entrée des œufs meurette au Bourgogne, en plat un coq au vin, et j’ai terminé avec un camembert au Calvados, des pruneaux à l’Armagnac, et pour la gourmandise, avec le café, un chocolat Mon Chéri. Et franchement, l’alcool ne m’a pas du tout manqué…"
Du lundi au vendredi à 8h50, retrouvez l'incontournable Laurent Gerra qui imite avec malice les déclarations chocs et les tics des célébrités. Avec sa complice, Mademoiselle Jade, les séances de travail ne sont jamais tristes.
