La ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, Frédérique Vidal, a annoncé ce mercredi 29 décembre que les examens partiels seront maintenus en présentiel malgré la forte vague épidémique. Le maintien de ces épreuves répond à "la demande majoritaire des étudiants", selon elle.
"Le problème ce n'est pas tellement si les partiels sont maintenus ou pas. C'est comment ils sont maintenus. La manière dont s'est exprimée la ministre ce matin, c'est loin d'être un soulagement", explique Mélanie Luce, présidente de l'UNEF. "Elle a l'air de dire que tout va bien, que tout est organisé et qu'il n'y a aucun problème. Le constat qu'on fait c'est que tout est très loin d'aller bien".
"On a énormément d'étudiants, qui sont positifs au Covid ou cas contacts, qui s'inquiètent sur le déroulé des examens", insiste la présidente de l'UNEF qui plaide pour une alternative aux examens en présentiel. "Pour nous la solution c'était notamment d'organiser des sessions de substitution, c'est-à-dire la possibilité de passer ses examens en février et de conserver le droit au rattrapage. Et ça, ça demande de l'organisation".
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