Il y a 30 ans: la dépeceuse de Tours
REPLAY - Une aide-soignante empoisonne, tue et dépèce sa meilleure amie en 1988, à Tours...
L'édito de Jacques Pradel
A la Une de l'Heure du Crime, une histoire presque unique dans les annales criminelles : celle d’une femme que la presse va surnommer « la dépeceuse de Tours », un rare cas de dépeçage humain réalisé par une femme.
Tout commence le 13 décembre 1988. Ce jour-là, on découvre dans un parking du centre hospitalier universitaire Trousseau, à Chambray-lès-Tours, deux sacs-poubelles contenant les membres et le buste d'un cadavre humain.
On croit d’abord à une sinistre farce des carabins de la fac de médecine, mais d’autres restes humains sont ensuite retrouvés dans un deuxième sac-poubelle, à quelques centaines de mètres de là, à proximité d'un hypermarché de la banlieue sud de Tours.
Très vite les enquêteurs découvrent l’identité de la victime grâce aux empreintes digitales et très rapidement ensuite l’identité de la meurtrière…
Vous pouvez à tout moment soumettre une affaire à Jacques Pradel. Laissez votre message avec les principales informations nécessaires à l'équipe de l'émission pour programmer, peut-être prochainement, ce fait-divers dans L'Heure du Crime.
Nos invités
Agnès
Grossmann, journaliste, réalisatrice de
documentaires pour la télévision, et notamment pour le magazine de France 2, Faites
Entrer l’accusé.
Jean-Yves
Nau, journaliste et docteur en médecine. Passionné par cette affaire, Il avait suivi le procès pour le journal Le
Monde en 1991.
Michel Sabourault, magistrat honoraire. Avocat général lors du procès de Sylvie en 1991, devant la cour d'assises de Tours.
