Gwladys Épangue est née le 15 août 1983 à 7 heures. Au micro de RTL, la mère de Gwladys Épangue, engagée dans les huitièmes de finale de taekwondo à Rio ce samedi 20 août, revient sur les premiers pas de sa fille. C'était "un bébé sage. qui ne pleurait pas beaucoup. Mais elle se méfiait un peu des gens, elle s'agrippait beaucoup à sa maman. Elle a sucé son pouce jusqu'à l'âge de 15 ans."
La jeunesse de l'athlète est marquée par l'emblème des arts martiaux dans le monde, Bruce Lee, mais pas seulement. "Les dessins animés, comme tous les enfants. Comme Dorothée." À l'école, Gwladys Épangue est une "bonne élève, une élève moyenne. Ce n'était pas une super élève, elle suivait normalement." En plus de ses talents pour les sports de combat, la jeune fille apprivoise peu à peu le journalisme. "Je me souviens, elle est partie au Canada chez mon frère et elle a joué à la chroniqueuse, c'était le reporter. Elle avait le micro, elle a fait tout le reportage du mariage. On a d'ailleurs toujours les cassettes à la maison. À cause de ça je pense, elle a fait des études de journalisme."
Pour ses deux jeunes frères, c'est la maman
Mère de Gwladys Épangue
Avant de devenir la championne de taekwondo qu'elle est aujourd'hui, Gwladys a débuté dans les starting-blocks des pistes d'athlétisme. "Elle est partie aux États-Unis, là-bas elle a vu un peu. Quand elle est revenue sur Paris, une copine lui en a parlé et elles sont allées à l'entraînement pour voir. Elle a vu, elle a aimé et c'est parti comme ça."
Dans la vie de Gwladys, sa famille est sacrée. "Comme petite sœur, elle aime beaucoup ses aînés, elle les écoute, elle discute avec eux, est toujours prête à répondre à leurs besoins. Pour les deux jeunes frères, c'est la maman. Elle ne verra jamais ses petits frères ne pas avoir un cadeau de Noël, c'est impossible. Mais en même temps, il faut qu'ils soient respectueux", raconte sa mère.
Un dernier mot pour Gwladys ? "Vas-y ma Gwlad ! Vas-y tu es une lionne ! Continue à te battre, comme tu l'as toujours fait. Maman et toute ta famille sont derrière toi. Nous avons confiance en toi, nous savons que tu peux et que tu l'auras.C'est très émouvant, mais il faut le faire, il faut le dire. De toute façon, la première supportrice, c'est moi !".
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