La provocante chanteuse Nicki Minaj est en pleine forme, elle a dévoilé mardi 19 août un clip gonflé où son postérieur est au centre de toutes les intentions. La vidéo longue de presque 5 minutes montre la chanteuse dans différentes positions toutes plus suggestives les unes que les autres.
Nicki Minaj parle dans sa chanson d'un dealer qui aime son gros postérieur, elle appelle aussi toutes les femmes aux formes très généreuses à s'affirmer sur les pistes de danse. "I wanna see all the big fat ass bitches in the motherfucking club".
Avant même de dévoiler ce clip, Nicki Minaj avait déjà fait sensation avec la seule pochette de son single où elle pose vêtue d'un string-ficelle rose. L'image avait été massivement détournée par les internautes.
La chanteuse a baptisé son morceau Anaconda parce qu'elle sample dans son single un titre datant de 1992 intitulé Baby Got Back. Dans cette chanson, l'interprète original Sir Mix-A-Lot fait l'apologie des gros postérieurs, particulièrement ceux des femmes noires. Son titre est en réalité un pied-de-nez aux critiques et moqueries dont ces dernières font l'objet de la part de certaines femmes blanches, comme cela est parodié au début du clip.
"J'aime les gros derrières et je ne peux pas le cacher, vous mes frères ne pouvez pas le nier non plus" scande, en substance, Sir Mix-A-Lot au début de sa chanson la plus célèbre.
Le chanteur confie plus loin que son "Anaconda" n'est pas attiré par les formes comme celle de Jane Fonda qui "n'a pas le moteur dans le coffre de sa Honda", détaille Sir Mix-A-Lot. "So your girlfriend rolls a Honda. Playin' workout tapes by Fonda. But Fonda ain't got a motor in the back of her Honda. My anaconda don't want none."
C'est sur cette dernière phrase que Nicki Minaj a bâti tout le concept de son single Anaconda, elle constitue le refrain du single. Anaconda est le second extrait du prochain album de Nicki Minaj après le doux Pills N Potions sorti début juin. L'album The Pink Print n'a pas encore de date de sortie officielle mais elle est annoncée pour courant 2014.
Commentaires