La chronique de Laurent Gerra du 16 février 2024

Dans les pages de son livre, "Les visiteurs du soir", Renaud Revel raconte que Brigitte Macron nourrit beaucoup de rancœur à l'encontre de François Hollande, qui en privé l'appelle "la vieille". "Quelle indélicatesse de votre part Monsieur le Président", commente Jade. "Oh mais non, il ne faut pas le voir comme ça, c'est un compliment dans ma bouche. La vieillesse, c'est le recul, la maturité... L'avortant a beaucoup de chance de l'avoir pour épouse", répond François Hollande. "L'avortant ?", demande Jade. "C'est un clin d'œil à son âge. C'est rare seulement à 40 ans d'être élu président. Même le nabot aura dû attendre ses 50 ans pour être élu en 2007", explique-t-il. Ce n'est pas très gentil pour Nicolas Sarkozy...

René-Charles Angélil, le fils de Céline Dion, vient de sortir son premier album sous le pseudonyme "Big Tip". La chanteuse était présente pour l'occasion : "C'est gentil de me recevoir à votre morning show pour parler de l'album de René-Charles. Pardon de 'Big Tip'. C'est bien beau ce nom-là. Ce n'est pas 'Big Tits'. Non, je précise parce qu'il aime bien ça, les grosses poitrines, mon gamin. Je le sais. C'est lui qui ouvrait le robinet à sirop d'érable pendant toute son adolescence, en regardant des vidéoclips de Jennifer Lopez. Mais maintenant que c'est une pop star, il va pouvoir en tripoter autant qu'il veut des grosses poitrines, avec toutes les groupies qui vont lui tourner autour comme des mouches autour d'un caribou. C'est affreux, c'est affreux", déplore l'interprète du titre "Pour que tu m'aimes encore". 

Enrico Macias, lui, est très préoccupé par la situation des femmes en Iran. Il tenait à dire quelques mots : "Bien sûr que je pleure toutes les larmes de mon corps. Mais si ça continue, je vais finir tout sec comme une figue laissée trop longtemps au soleil de Constantine. À mes petites sœurs iraniennes, je veux leur envoyer des colombes de la paix. Et que si mes colombes, en passant dans le ciel de Téhéran, elles pouvaient lâcher quelque guano sur la tête aux méchants barbus, on viendrait pas se plaindre, vraiment", dit-il. "Certains pensent que cette révolte peut se transformer en révolution", reprend Jade. "Faut qu'ils se méfient les ayatollahs parce que chez nous, les Orientaux, quand les hommes ils font des boulettes et que les femmes elles en ont gros sur la graine, la vengeance, c'est un couscous qui se mange très, mais alors très très chaud, je te le dis", prévient Enrico Macias. 

Dans cette chronique du 16 février, Laurent Gerra a également imité Alain Finkelkraut. 

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