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Maïtena Biraben, lors de la fête des 30 ans de la chaîne Canal +, en novembre 2014.
Crédit : KENZO TRIBOUILLARD / AFP
Vous connaissez le principe des droites parallèles qui, par définition, ne se rencontrent jamais ? Maitena Biraben et Antoine-de-Caunes en sont actuellement une parfaite illustration médiatique. Nous l'avons d'ailleurs déjà évoquée mais puisque l'on connait aujourd'hui la conclusion de leur "histoire non commune" résumons-là, épilogue inclus.
Tout commence au début de l'été 2013. Maïtena Biraben est sur Canal+ et s'y trouve bien. Sa direction aussi la trouve très bien. Elle a en effet sacrément fait ses classes depuis qu'elle a laissé la présentation des Maternelles en 2004. Elle a quitté les bancs de l'école en évitant les bancs de touche et se retrouve rapidement au touche à touche avec les meilleurs.
C'est donc logiquement à Maïtana que le patron de Canal+ Rodolphe Belmer finit par penser pour remplacer un MIchel Denisot "parti presque de son plein gré" diriger Vanity Fair ! Oui, pourquoi pas Le Grand Journal ? On vous passe les tractations, pour sauter à la conclusion. Car Ils concluent. Maïtena aura la tranche. Bientôt le communiqué est prêt. Reste à le publier. Il ne le sera pas. Un nouvel élément est "intervenu sans rien dire" ! Antoine de Caunes. Il apprend alors que le film ambitieux qu'il devait réaliser ne se fera pas. Il se tait.
Mais un de ses amis comédiens prévient Canal+ : Il faut faire un geste. Antoine, c'est un historique de la chaîne cryptée, un populaire. Un incontesté. Un incontestable. L'affiche est belle, la promesse aussi, le lien évident entre hier et demain. On lui propose donc logiquement le poste. Il l'accepte. Maïtena se tait avec élégance et continue à bénéficier d'un "supplément" dominical. Fin de l'acte 1.
Le deux commence au printemps. Malmené par la concurrence, Antoine de Caunes finit tout de même par arracher sa reconduction à la tête du Grand Journal. Il donne rendez-vous aux fidèles le 31 août. C'est compter sans le patron de Vivendi Vincent Bolloré. Maïtena en impose. Il l'impose et dépose Antoine. Qui, à son tour, évite toute mesquinerie en remerciant d'une "gratitude éternelle" son public. Lui fixant rendez-vous pour de futures nouvelles aventures.
Moralité : puisqu'ils sont élégants, nous le serons aussi. Pas question de nous fendre d'un... Supplément !
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