La pizza, c’est
ce plat qui a la circonférence du chapeau de Geneviève de Fontenay, mais sans
le truc pas frais qu’il y a juste en dessous. Au moment de sa fabrication, on
peut la lancer, comme la blanquette de veau, sauf qu’on la rattrape plus
facilement.
Et la pizza,
c’est la grande fierté de l’Italie, avec le sexe de Rocco Siffredi, cette
aberration dont le perchiste Renaud Lavillenie rêve de se servir pour franchir
les 6m16, et le Colisée de Rome, là où les esclaves, les ancêtres des
stagiaires, combattaient des fauves, les ancêtres de Martine Aubry.
A tel point que
le pays de Vivaldi essaie de faire classer la pizza napolitaine au patrimoine
immatériel de l’Unesco. L’art de cette pizza est très précis : son
diamètre doit être de 35 cm, la taille des chevilles de Zlatan Ibrahimovic. Ses
bords doivent faire 2 cm d’épaisseur, son centre 0,4 cm, le pizzaiolo qui
déborde est déguisé en femme et livré à Silvio Berlusconi.
La liste du
patrimoine immatériel de l’Unesco, elle, est longue comme un jour sans poster
de Rihanna. Y a été classé le fest-noz breton, qui consiste à danser en
assistant au décès de types qui crachent des morceaux de bronches dans des
binious. Mais aussi le fado portugais, ce chant qui aborde des thèmes variés
comme la tristesse, mais aussi l’absence de joie, la mélancolie et la mort.
Après quand vous entendez un album de Miossec vous faites la chenille.
Et en Turquie,
l’Unesco a même classé le festival de lutte à l’huile...
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