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"Les Lacs du Connemara, la chanson à 3,5 grammes", dit Christine Berrou

Cette semaine, Christine Berrou rend hommage à Michel Sardou en étudiant, à sa façon, les paroles des "Lacs du Connermara".

Christine Berrou

Crédit : Élodie Grégoire

Cette semaine dans l'actualité, il y a eu les grèves, l'interview d'Emmanuel Macron, mais l'information qu'il fallait retenir ce sont les adieux à la scène de Michel Sardou. Cet homme, qui dans sa chanson Le Surveillant général rêvait d'un monde rempli de femmes aux cheveux roux et qui, de fait, manquera beaucoup à Natacha Polony. Il fera peut-être d'autres adieux car on y a droit lorsqu'on est chanteur : c'est la clause Charles Aznavour.

En hommage : une petite étude de texte des paroles des Lacs du Connemara, alias la chanson à 3,5 grammes, comme on la surnomme dans les soirées karaoké. Ça commence par "Terres brûlées au vent, des landes de pierres" et non "aux projections de pierres", ça ce n'est pas le Connemara mais la Zad de Notre-Dame-des-Landes (...)

Ensuite sont arrivés "les Connors, les O'Connolly, les Flaherty du Ring of Kerry" et là, ce ne sont plus seulement des paroles, c'est carrément un exercice d’orthophonie. En général, c'est à ce stade de la chanson que l'on perd Jean Lassalle. 

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