Google à la poursuite de l'immortalité ? Le géant de l'informatique se lance dans les nanoparticules afin de dépister certaines maladies. Le projet semble totalement fou pour l'instant mais la firme américaine espère le mettre au point d'ici une dizaine d'années.
On plonge là dans l'infiniment infiniment petit, puisqu'on parle de nanoparticules, c'est à dire de particules de quelques milliardièmes de mètre ou de millionièmes de millimètres !
Ces particules seraient des sortes de capteurs qu'on ingérerait, via une gélule ou un comprimé. Elles circuleraient dans notre sang et seraient programmées pour détecter les modifications de notre organisme qui précèdent l'apparition d'une tumeur, d'un accident vasculaire cérébral ou d'une crise cardiaque.
Ces nanoparticules seraient connectées et on pourrait suivre leur évolution à distance afin d'être prévenu avant que la maladie se développe.
Sans parler de diagnostiquer des maladies, d'autres scientifiques font des recherches actuellement pour utiliser ces nanoparticules pour soigner en les téléguidant par exemple sur une tumeur qu'elles détruiront une fois arrivée dessus.
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