EN IMAGES - Les fêtes de Noël dans la peau d'une sportive

Enfin les vacances, du moins au boulot, car pour le sport et la préparation des triathlons, je profite du temps libre pour augmenter les charges de travail. Mon absence de passé sportif m’oblige à mettre les bouchées double pour combler mes carences dans les trois disciplines (natation, cyclisme, course à pieds).  

Ça commence avec mes premières séances de plus de 2.500m en natation, avec toujours un gros travail sur la technique. Pas toujours simple quand on n'est pas une nageuse dans l’âme ! Mais c'est nécéssaire pour ne pas compromettre mes chances en compétition avant le vélo et la course. 

Ne pas relâcher l'entraînement

Pour le vélo, la météo ne nous épargne pas et c’est donc sur le home-trainer (vélo fixe en gros comme un super vélo d'appartement) que je passe le plus clair de mon temps, ça tombe bien mon coach m’a préparé un cycle de force pour mettre mes gambettes dans l’ambiance. Courbatures assurées.

En course à pied, je continue à avancer dans mon travail pour tenter d’avoir une technique pour ressembler un peu plus à une coureuse. Pour ce faire, un travail dans les infrastructures du centre Les Barles à Carnous en Provence aide énormément. Pour rester dans le rythme, Samedi 26 décembre c’était jour de dossard avec la ronde des Péres Noël, course festive de 11km dans le Var. Déguisés, c'est obligatoire, et en binôme, c'est une bonne façon pour faire du sport en couple ou entre amis. Malgré les fêtes et les "excès", je remplis l'objectif en finissant ma course de 11 km avec 4min23 de moins que l'année dernière. J'étais ravie.

Manger de tout, mais boire peu d'alcool

Pour les repas de Noël, j'ai fait au mieux, mais c'est aussi la fête et je considère cela comme un gros "cheat meal" sur plusieurs jours. De toute manière avec la charge d'entrainement, je peux me permettre quelques écarts, mais sans jamais flirter avec la crise de foie. Je fais gaffe.

Le plus nocif reste l'alcool, que je limite au maximum. Je consomme un verre ou deux de champagne mais pas plus. Déjà pour le sucre (les boissons alcoolisées en sont gorgées), mais aussi parce qu'en s’entraînant chaque jour, je ne peux pas me permettre de ne pas me lever le lendemain ou d'avoir les jambes lourdes.

Enfin, en déplacement professionnel, c'est compliqué de faire attention et de contrôler ce que je mange. J'essaie au maximum de consommer des salades, yaourts à boire et/ou fruits. Et évidemment de l'eau, beaucoup d'eau. De toute manière entre l'eau perdue en transpirant et celle dont nous avons besoin chaque jour, je me balade tout le temps bouteille ou gourde à la main. Et pour éviter les courbatures le lendemain pas le choix.

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