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Primaire à gauche : les socialistes n'arrivent à se mettre d'accord sur rien

CONFIDENTIELS RTL - Les socialistes se sont réunis mardi 20 septembre à Paris pour discuter des modalités de la primaire de la Belle Alliance Populaire. Il y a eu beaucoup de tension.

Le poste d'assistant de direction serait le plus touché par les suppressions d'emploi.
Crédit : SIPA
Primaire à gauche : les socialistes n'arrivent à se mettre d'accord sur rien
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Primaire à gauche : les socialistes n'arrivent à se mettre d'accord sur rien
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Pauline De Saint-Rémy & Loïc Farge
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La réunion a duré un peu plus que les deux heures initialement prévues, mardi 20 septembre. Elle s'est déroulée au siège du Parti socialiste, rue de Solférino à Paris. Dans la salle Poperen, plus exactement, au premier étage. Autour de la table, vous aviez Christophe Borgel, bras droit de Jean-Christophe Cambadélis et président du comité d'organisation de la primaire de la gauche. Cela tombe bien parce qu'il connaît par cœur les arcanes du PS. Le "Monsieur élections du PS" connaît surtout la carte électorale. C'est aussi un expert en coups de billard à quatre bandes, la spécialité de Solférino. Bref, Christophe Borgel est taillé pour le job. Il nous a même confié : "Moi, dans la vie il n'y a pas grand chose qui m'angoisse".

Face à lui, il avait un ou deux représentants de chaque candidat de la primaire de la Belle Alliance Populaire(qui se tiendra en janvier prochain). Il y avait des représentants de Benoît Hamon, de Marie-Noëlle Lienemann et de Gérard Filoche. Arnaud Montebourg, lui, était représenté par son lieutenant François Kalfon. Un colosse bien connu sur les plateaux de télévision, et qui n'a pas sa langue dans sa poche. Pour mémoire, Arnaud Montebourg n'a toujours officialisé sa participation à la primaire, car il attend encore des garanties.

Deux sujets de bisbilles

Deux sujets fâchent : d'abord le nombre et la répartition des bureaux de vote, mais surtout l'argent. Le PS, pour l'instant, propose une aide de 30.000 euros par candidat pour leur campagne. Il en coûte 2 euros par tour aux électeurs. François Kalfon aurait expliqué en substance qu'à moins de 100.000 euros par candidat, c'était "une plaisanterie". Par ailleurs, les candidats préféreraient garder le tarif d'un euro par vote et par électeur qui a prévalu en 2011.

Des sujets fondamentaux ! En tout cas, rien ne convenait mardi soir à François Kalfon, remonté comme un coucou en sortant. En revanche, Christophe Borgel se montrait plus philosophe en déclarant : "Il faut bien faire parler un peu, il faut bien justifier qu'ils traînent pour officialiser leur participation à la primaire". Toujours pas d'angoisse, donc, pour Christophe Borgel. Tout ce petit monde a de nouveau rendez-vous le 28 septembre.

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