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Nouveau Premier ministre : pas d'annonce d’Emmanuel Macron ce mercredi, l'attente se poursuit

Dans sa quête d'un Premier ministre, Emmanuel Macron penche "plutôt" pour "une solution politique". L'étude des deux options encore sur la table ce mercredi 4 septembre : Bernard Cazeneuve ou Xavier Bertrand, n'a abouti à aucune décision. L'attente est donc reconduite à jeudi.

Lise Lacombe
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Ce que nous savons pour l'instant
  • Emmanuel Macron a poursuivi sa quête d'un Premier ministre ce mercredi 4 septembre, sans aboutir à une nomination. Les consultations s'éternisent 58 jours après les élections législatives qui ont débouché sur une crise politique inédite.
  • Emmanuel Macron s'est tourné successivement mardi vers la droite et la gauche pour savoir lequel de Xavier Bertrand ou de Bernard Cazeneuve peut survivre à une censure immédiate en cas de nomination à Matignon. C'est l'un des "critères" principaux pour la décision finale, explique un proche du président.
  • Quelques 81 députés NFP, dont les 72 Insoumis, ont signé la proposition de destitution du chef de l'État déposée par La France insoumise ce mercredi.
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ce live touche à sa fin

Aucune nomination n'est encore tombée ce mercredi. L'attente est donc reconduite à jeudi, sans aucune garantie. Merci de nous avoir suivi pour cette nouvelle journée.

"le problème du président, c'est son rapport à la décision", juge hollande

François Hollande s'est exprimé sur l'indécision d'Emmanuel Macron face à la nomination d'un nouveau Premier ministre : "Il n’y a pas de tactique de la part d’Emmanuel Macron sinon ça serait du grand art !", a-t-il estimé dans Quotidien sur TMC ce mercredi. "Le problème du président de la République c’est son rapport à la décision", a-t-il ajouté.

pas de nomination ce mercredi, annonce un proche de macron

La nomination du nouveau Premier ministre n'interviendra pas ce mercredi, selon un proche du président contacté par l'Agence France-Presse. Aucun délai n'a cependant été précisé. "On avance", a promis ce dernier. "Les critères du président restent la 'non censurabilité' [...] et la capacité à faire des coalitions car la situation politique l'exige", a-t-il ajouté.

gabriel attal se dit prêt à passer la main et lègue ses "chantiers"

Alors que son successeur se fait toujours attendre, Gabriel Attal s'est exprimé dans les colonnes du Figaro évoquant son départ imminent de Matignon et les projets de loi qu'il entend bien léguer à celui qui prendra la main : "Ces textes sont prêts, nous avons lancé ces chantiers. C'est désormais au prochain gouvernement qu'il appartiendra de transformer l'essai", dit-il.

Parmi ces "chantiers", il cite le projet sur la justice des mineurs, celui sur la "désmicardisation", sur la dite "taxe lapin" que devront payer les patients qui n'honorent pas leurs rendez-vous médicaux, sur le logement et l'augmentation de la part des habitats intermédiaires, énumère l'AFP.

la proposition de destitution d'emmanuel macron déposée avec 80 signataires

Les 72 députés insoumis ont déposé ce mercredi leur proposition de destitution d'Emmanuel Macron, comme ils l'avaient indiqué en cas de refus du président de nommer Lucie Castets à Matignon.

Le texte compte 80 signataires, parmi lesquels les écologistes Benjamin Lucas, Clémentine Autain, Hendrik Davi, Danielle Simonnet et Sandrine Rousseau, mais aussi Frédéric Maillot, Karine Lebon, Emeline K-Bidi, du groupe de la Gauche démocrate et républicaine (GDR).

un verdict ce mercredi ? "c'est l'objectif", assure-t-on dans le camp présidentiel

Alors que le socialiste Bernard Cazeneuve et le républicain Xavier Bertrand sont privilégiés par Emmanuel Macron pour occuper Matignon, la décision pourrait bel et bien tomber ce mercredi soir. "C'est l'objectif", confirme une source de l'AFP issue du camp présidentiel.

Selon plusieurs ministres démissionnaires, Xavier Bertrand semble tenir la corde. "Mais ce matin, le président interrogeait encore", pointe l'un deux. Emmanuel Macron a eu en tout cas de nouveaux échanges dans la journée, confirme un proche à l'Agence France-Presse.

rachida dati appelle Édouard philippe et jean-michel blanquer à plus "de reconnaissance"

La ministre de la Culture démissionnaire Rachida Dati ne s'est pas privée de commenter les sorties de Jean-Michel Blanquer, en plein promotion de son livre "La Citadelle", et Édouard Philippe, qui s'est déclaré mardi soir dans les colonnes du Point, candidat à l'élection présidentielle de 2027.

"L’élégance comme la reconnaissance devraient amener à plus de respect de l’institution présidentielle et de l’homme qui vous a permis d’agir et même d’exister sur le plan politique", a-t-elle tancé sur X (ex-Twitter) ce mercredi.

un député nfp demande une commission d'enquête de l'assemblée

Benjamin Lucas, député écologiste des Yvelines, demande la constitution d'une commission d'enquête de l'Assemblée nationale, alors que le gouvernement a présenté sa démission il y a maintenant 50 jours.

"Depuis de longues semaines nos institutions sont bloquées et un gouvernement démissionnaire dirige le pays avec une légitimité qui interroge, écrit-il. Je propose que l’Assemblée joue son rôle de contrôle et formule des propositions pour empêcher la reconduction de cette situation."

fabien roussel prêt à des conCessions ?

Abrogation ou suspension de la réforme des retraites ? Censure de personnalité ou de projet politique ? Sur RTL, Fabien Roussel a semblé s'écarter de la doctrine initiale du NFP, "tout le programme et rien que le programme".

Réécoutez son entretien avec Thomas Sotto, symbole de l'émergence d'un nouveau paradigme dans une gauche qui revendique toujours son unité. ⤵️

un changement de stratégie à gauche ?

Invité de Thomas Sotto dans RTL Matin ce mercredi, Fabien Roussel a laissé transparaître une certaine ouverture quant à l'action du prochain gouvernement.

Le secrétaire national du parti Communiste dit être prêt à admettre une suspension de la réforme des retraites et n'exige donc plus son abrogation immédiate. Cela recoupe la position adoptée hier soir par les socialistes, mais écologistes et insoumis sont beaucoup plus réticents...

Les explications de Marie-Bénédicte Allaire ⤵️

La pétition pour la destitution d'Emmanuel Macron atteint 200.000 signataires

La pétition lancée par la France insoumise pour demander la destitution d'Emmanuel Macron a atteint les 200.000 signatures ce mercredi. Hier, Mathilde Panot, la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, a annoncé avoir déposé sa proposition de résolution pour enclencher le processus de destitution du Président. Un procédé encadré par l'article 68 de la constitution.

le président "échafaude un gouvernement à sa convenance" avec le RN, accuse Danièle Obono

En réaction à l'information de BFMTV et France info indiquant que le président a consulté Marine Le Pen, la députée LFI Danièle Obono a déclaré sur X : "après avoir échoué à le faire arriver au pouvoir en obéissant à sa demande de dissolution, Macron reçoit le soutien du RN à son coup de force en échafaudant un gouvernement à sa convenance".
"Extrême-centre – extrême-droite : même mépris du peuple, même combat contre la démocratie", a-t-elle ajouté.

Emmanuel macron a consulté marine le pen mardi soir

Selon les informations de BFMTV et de France Info, le président de la République a consulté par téléphone Marine Le Pen sur les hypothèses Bernard Cazeneuve et Xavier Bertrand comme Premier ministre.
Elle a réaffirmé que son parti censurerait les deux candidats.

"La seule solution, c'est le départ d'Emmanuel Macron", estime éric Ciotti

Sur Télématin, le patron de l'Union des droites pour la République (UDR) n'a pas mâché ses mots : "La seule solution, c'est le départ d'Emmanuel Macron", a-t-il affirmé. "J'ai vu qu’Édouard Philippe annonçait hier soir sa candidature, ça signifie peut-être que lui aussi considère que la seule solution est le départ de monsieur Macron", a-t-il ajouté.
Le député de la 1e circonscription des Alpes-Maritimes a déjà expliqué à plusieurs reprises qu'il voterait une motion de censure si Xavier Bertrand entrait à Matignon. Un avis qu'il partage avec le Rassemblement national.

Sébastien Chenu évoque le nom de Jean-Louis Borloo comme Premier ministre

Le député du Rassemblement national, Sébastien Chenu a évoqué ce matin sur BFM TV et LCI le nom Jean-Louis Borloo. Il estime qu'il s'agit de "quelqu'un avec qui on a des vraies différences d'approche, c'est le moins qu'on puisse dire, et qui est un homme qui se comporte bien".
Le Rassemblement national souhaite voir à Matignon "quelqu'un qui aurait la lucidité de s'attaquer réellement à l'immigration, à l'insécurité, au soutien du pouvoir d'achat des Français", a-t-il ajouté.

"Le mur est juste devant nous", alerte charles de courson

Le rapporteur général du budget à l’Assemblée, Charles de Courson s'inquiète de la situation financière du pays ce matin, après la lecture des notes budgétaires envoyées par Bruno Le Maire, lundi 2 septembre au soir. "Sur le budget 2024, on constate qu’il y a des pertes de recettes significatives", explique le membre du groupe Liot dans une interview du Parisien.
Selon Charles de Courson, il sera « extrêmement difficile, voire impossible" de respecter les engagements européens. "Il faudrait réaliser entre 30 et 40 milliards d’euros d’économies en 2025, rendez-vous compte !", martèle-t-il.

"Le mur est juste devant nous. J’en appelle à la responsabilité de tous les courants politiques. Sinon, si on veut finir sous la tutelle du FMI (Fonds monétaire international) et de l’Union européenne, continuons comme cela", ajoute-t-il.

"pas de censure a priori systématique", confirme Nicolas Mayer-Rossignol

Le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, assure que le Parti socialiste attendra de connaître la politique du prochain Premier ministre avant de voter une censure. Une décision prise lors de la réunion du bureau du PS hier soir.
"Ce que nous avons dit hier soir c'est pas de censure a priori systématique, nous regarderons d'abord le fond des projets", assure-t-il sur LCI ce matin. "Il est très clair que toute forme de continuation, c'est-à-dire pas de changement, serait rejeté par tous les socialistes et nous sommes tous d'accord pour dire cela", a-t-il ajouté.

Lucie Castets répond au magazine Marianne : "ni moi ni personne de mon équipe n’avons touché le moindre euro de la part du Nouveau Front populaire"

Alors que le magazine Marianne dévoilait mardi soir que l'équipe de Lucie Castets a "réclamé une enveloppe mensuelle de 51 000 euros au NFP pour continuer à fonctionner", l'énarque a pris la parole ce matin du X pour "clarifier" la situation.


"Depuis ma désignation le 23 juillet, ni moi ni personne de mon équipe n’avons touché le moindre euro de la part du Nouveau Front populaire", a-t-elle expliqué.

"Une estimation budgétaire avait été proposée en juillet par le NFP, elle n’a jamais été mise en œuvre. Les centaines d’heures de préparation, de réunions et de déplacements ont été réalisées à titre bénévole", a-t-elle ajouté.

Bruno retailleau : "Notre but est d'éviter un Premier ministre de gauche avec un programme de gauche"

Alors que le nom de Xavier Bertrand revient en boucle, Bruno Retailleau, le chef des LR au Sénat, a déclaré sur BFM : "Nous ne nous opposerons bien sûr pas à la nomination de Xavier Bertrand". "Notre but est d'éviter un Premier ministre de gauche avec un programme de gauche", a-t-il ajouté.

"ce n'est pas le nom qui compte, c'est le fond", assure Fabien roussel

Questionné sur l'éventualité de voir Bernard Cazeneuve ou Xavier Bertrand entrer à Matignon, l'ancien député du Nord assuré qu'il n'y aurait pas de "censure immédiate". "Ce n'est pas le nom qui compte, c'est le fond, c'est la politique, c'est ce qui sera mis en œuvre et quel que soit le Premier ministre que le président a décidé de nommer", explique-t-il au micro de RTL.
"Qu'importe le nom, ce que nous voulons, c'est l'abrogation des retraites, la hausse des salaires et un budget du pays en hausse pour pouvoir embaucher dans les services publics, a ajouté le secrétaire national du Parti communiste.

Fabien Roussel : "Nous sommes prêts pour des compromis"

Invité sur RTL, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste, a expliqué avoir échangé hier avec le président de la République par téléphone. Il a assuré à Emmanuel Macron que le Nouveau Front populaire était "prêt pour des compromis, pas pour la compromission".
L'ex-député a précisé que le NFP garde des exigences, notamment sur la réforme des retraites : "il faut l'abrogation ou la suspension jusqu'en 2027, aux prochaines élections présidentielle et législatives".

Bernard Cazeneuve divise la gauche

Bernard Cazeneuve n'est pas le premier choix du Parti socialiste qui s'était accordé avec la France insoumise et les Écologistes pour soutenir Lucie Castets. Soutenu par des pontes du Parti socialiste, comme le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, et la vice-présidente de la métropole de Lyon, Hélène Geoffroy, l'ex-socialiste pourrait tout de même faire l'objet d'une motion de censure votée par certains députés du Nouveau Front Populaire.
Le bureau du PS a rejeté, mardi soir, l'idée d'un soutien inconditionnel à un gouvernement mené par l'ancien ministre de François Hollande.

Xavier bertrand peine à convaincre

Considéré comme une option sérieuse par Emmanuel Macron, le nom de Xavier Bertrand circule depuis plusieurs jours pour le poste de Premier ministre. Pourtant, le président du Conseil régional des Hauts-de-France peine à convaincre à gauche. La France insoumise a déjà signifié qu'elle déposerait une motion de censure si le gouvernement était mené par Xavier Bertrand.
Le Rassemblement national et le parti d'Éric Ciotti, l'Union des droites pour la République (UDR) ont également déclaré qu'il voterait une motion de censure contre lui.

Les hypothèses Xavier Bertrand et Bernard Cazeneuve

Après avoir écarté l'hypothèse de Thierry Beaudet, Emmanuel Macron continue ses consultations pour trouver un Premier ministre. Xavier Bertrand et Bernard Cazeneuve restent tous les deux en lice pour le poste de Matignon.

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