Barrage contre le RN : les élus Ensemble "ne sont pas à la hauteur de l'histoire", estime Tondelier sur RTL

Merci de l'avoir suivi. Rendez-vous demain matin pour un nouveau live consacré aux élections législatives.

Jean-Luc Mélenchon a assuré "ne pas être concerné par cette bataille [pour le poste de Premier ministre]", sur France 2. "Je ne suis candidat à rien", a-t-il affirmé.

Et l'ancien candidat à la présidentielle de nommer quelques Insoumis capables de devenir Premier ou Première ministre : "Manuel Bompard, Mathilde Panot, Clémence Guetté. Mais je pourrais citer aussi Éric Coquerel ou Younous Omarjee."

"Ce qui est devant moi, c'est le rôle que j'ai joué : ressuscité la gauche autour de la ligne de rupture", a-t-il conclu.

Marine Tondelier, la patronne des Écologistes, a pris les élus de la majorité présidentielle en grippe. Selon elle, ils "ne sont pas à la hauteur de l'histoire" à l'heure où ils devront, peut-être, faire barrage au Rassemblement national.

Conscient d'avoir "besoin d'aller chercher de la main-d'œuvre à l'étranger" pour les métiers en tension, Jordan Bardella souhaite "recréer des filières professionnelles en France, [...] et qu'une fois le contrat de travail terminé dans des secteurs où l'on a besoin de main-d'œuvre, ces personnes repartent dans leur pays".

"On a besoin de permettre à ces filières de redevenir attractive pour des milliers de jeunes", a-t-il conclu, sur M6.

"Le rétablissement de l'ordre et la sécurité sera l'une des pierres angulaires" du programme de Jordan Bardella. "Je souhaite mettre fin au laxisme judiciaire", a-t-il déclaré sur le 1945 de M6.

Il compte lutter contre la drogue par "des contrôles aux frontières" et annonce "reconquérir [les quartiers]". Pour ce faire, le président du Rassemblement national l'assure : cela passe par le soutien apporté aux forces de l'ordre.

Jordan Bardella annonce également vouloir expulser les délinquants étrangers et "rétablir la double peine". S'il sait que cela peut être difficile et prendre du temps, il assure "se refuser à l'impuissance".

Faisant le constat du marché de l'immobilier, décrit comme "tendu, difficile, bloqué" par des normes environnementales "excessives", Jordan Bardella a expliqué vouloir agir sur le DPE (Diagnostic de performance énergétique). 

"Je souhaite conserver le DPE, je pense que c'est un outil important. Mais je souhaite lever les interdictions qui pèsent sur le DPE pour qu'on puisse louer plus facilement et vendre plus facilement", a expliqué le président du Rassemblement national sur M6.

"La première mesure que je souhaite prendre, c'est la baisse de la TVA de 20 % à 5,5 % sur les énergies et les carburants", a expliqué. Jordan Bardella, interrogé sur M6 sur le volet pouvoir d'achat de son programme. "Sur un plein de 50 litres avec du sans-plomb 95, c'est immédiatement 15 euros que je rends à nos compatriotes."

Le président du Rassemblement national assure également qu'il négociera avec la Commission européenne pour "retrouver un prix français de l'électricité".

"Mon ambition est d'agir vite et agir fort, car nos compatriotes n'y arrivent plus", a-t-il également estimé.

Invité du 1945, sur M6, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a réaffirmé ses priorités en cas de victoire de l'extrême-droite aux législatives : "le pouvoir d'achat de tous les Français et en particulier des Français les plus modestes", "le rétablissement de la sécurité" et "la maîtrise de l'immigration". 

Il aspire aussi à être "le Premier ministre de tous les Français [...] y compris des Français venant d'autres bords politiques".

Que contient le programme de Renaissance pour ces législatives ? La majorité présidentielle a consacré le volet au pouvoir d'achat, avec la baisse des factures d'électricité, l'exonération des frais de notaire jusqu'à 250.000 euros pour les primo-accédants à la propriété ou l'augmentation du montant de la prime Macron.

Renaissance souhaite aussi revaloriser des retraites en fonction de l'inflation. Enfin, la majorité présidentielle a assuré qu'il n'y aurait aucune hausse des impôts.

Le journal RTL

2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Le programme de Renaissance pour les législatives

24/06/2024 à 17:40 — 02m28s

Les Républicains ont annoncé avoir saisi le Conseil d'État en référé pour être invités au débat de ce mardi, sur TF1, auquel seuls Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard sont conviés.

Le parti a saisi le juge du référé-liberté du Conseil d'État pour suspendre le rejet de sa demande par l'Arcom vendredi dernier, afin de "l'enjoindre de mettre, sans délai, en demeure la chaîne TF1 d'inviter un représentant du parti Les Républicains à participer au débat du 25 juin", souligne la requête envoyée par le parti, dont l'AFP a obtenu une copie.

Les programmes des "deux extrêmes" mènent "à la guerre civile", a affirmé Emmanuel Macron dans dans le podcast "Génération Do It Yourself". Il fustige le Rassemblement national, La France insoumise "et ceux qui les suivent".

"La réponse de l'extrême droite" en matière d'insécurité, "parce qu'elle renvoie les gens ou à une religion ou à une origine, c'est en ça qu'elle divise et qu'elle pousse à la guerre civile", a-t-il expliqué.

En face, La France insoumise propose "une forme de communautarisme... un peu électoral", "mais ça c'est aussi la guerre civile derrière, parce que c'est d'abord renvoyer des gens exclusivement à leur appartenance ou religieuse ou communautaire", a ajouté le chef de l'État.

Selon notre projection Toluna Harris Interactive, le Rassemblement national arriverait en tête aux prochaines élections législatives avec 33 % des voix exprimées. Le Nouveau Front populaire suivrait avec 27 %.

La majorité présidentielle ne comptabiliserait que 20 % des intentions de vote.

INFO RTL - Sondage législatives 2024 : le RN en tête à 33%, suivi par le nouveau front populaire à 27%, selon notre projection

Jordan Bardella et Gabriel Attal vont débattre deux fois cette semaine. Ce mardi avec Manuel Bompard (coordinateur de LFI), puis jeudi avec Olivier Faure (Premier secrétaire du PS). Un choix qui ne convient ni au président du Rassemblement national, ni au Premier ministre, qui ont donc invité Jean-Luc Mélenchon à participer à ces débats.

"Aujourd'hui, une partie de l'alliance à gauche cherche à planquer Jean-Luc Mélenchon alors qu'il est, de son propre aveu, le candidat au poste de Premier ministre. Donc j'invite Jean-Luc Mélenchon à participer à ce débat et à ne pas avancer masquer", a lancé Jordan Bardella.

Mais Jean-Luc Mélenchon fait un peu figure de repoussoir et toute la gauche est en train de s'en éloigner. Ce week-end, ce dernier a assuré qu'il a "l'intention" de gouverner le pays. Ce qui a poussé Marine Tondelier, Olivier Faure et Fabien Roussel à assurer que ce sont les députés du Nouveau Front populaire qui choisiront une personnalité qui fera consensus pour ce poste.

En détaillant son programme, Jordan Bardella a fait part de sa volonté de priver de postes stratégiques les Français bi-nationaux. Mais est-ce seulement possible ?

"Cette bi-nationalité, en quoi pose-t-elle un problème d'ingérence étrangère, sachant que toutes les attaches familiales et professionnelles sont déjà évaluées par des entretiens très poussés sur ces postes stratégiques", se questionne Anne-Charlène Bezzina, professeure de droit public à Sciences Po Paris.

"On ne peut pas les distinguer des nationaux français, surtout pour un même objectif, qui est d'accéder à l'emploi. Il y a de fortes chances qu'au moment où les oppositions vont saisir le Conseil constitutionnel, ce dernier dise que c'est complètement contraire à la Constitution, car contraire au principe d'égalité d'accès devant la loi et devant l'emploi public", conclut-elle.

"Le Rassemblement national est aujourd'hui le seul mouvement à pouvoir mettre en œuvre, dès maintenant et raisonnablement, les aspirations clairement exprimées par les Français", a affirmé Jordan Bardella indiquant être "prêt".

Critiqué pour son inexpérience et dénoncé pour ses rétropédalages sur certains sujets, Jordan Bardella a affirmé que le RN était une réelle alternative. Il a donc déroulé son programme : baisse de la TVA pour l'énergie, "big-bang" à l'école avec le vouvoiement des professeurs et l'interdiction des téléphones portables et exclusion des binationaux des emplois stratégiques.

Le journal RTL

LÉGISLATIVES - Le Rassemblement national est "prêt", affirme Jordan Bardella

24/06/2024 à 18:36 — 02m05s

Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon "n'est pas le leader du Nouveau Front populaire et il ne sera pas Premier ministre", a déclaré la patronne des Ecologistes Marine Tondelier.

Au sein des différents partis qui composent l'alliance de gauche, le PS, LFI, le PCF et les Ecologistes, "il y a un accord pour dire que le Premier ministre devra être trouvé au consensus parmi les différentes forces politiques", a-t-elle affirmé, précisant que le candidat devra convenir aux quatre partis.

Les candidats des Écologistes se désisteront au second tour au profit d'un candidat "qui respecte les valeurs de la République" en cas de possibilité de victoire du Rassemblement national, a annoncé lundi la patronne du parti, Marine Tondelier.

Elle a également précisé attendre dorénavant "la même clarté de l'ensemble des forces politiques qui se disent républicaines".

L'extrême droite représente "la plus grande menace", notamment pour les "valeurs de justice" et de "respect de la dignité", estime l'ancien haut magistrat François Molins dans un extrait, diffusé lundi sur X, d'un entretien vidéo au site d'information Arrêt sur images. Il décrit une situation politique "compliquée" et "dangereuse".

Le magistrat à la retraite s'est dit "inquiet" des "politiques parfois même des ministres" qui parlent de "“coup d'Etat de droit”" et qui disent "qu'on se garde le droit de ne pas respecter [...] certaines décisions de justice". "L'État de droit, c'est quand même une situation dans laquelle on pose des limites à l'action de l'État", a-t-il rappelé.

RTL vous aide à faire votre choix jusqu'au 1er tour des Législatives en détaillant le programme des différents partis en lice pour les scrutins des 30 juin et 7 juillet prochains. Qu'en est-il en matière d'éducation ?

Éclairage signé Nérissa Hémani ⤵️

RTL Midi

LÉGISLATIVES - Comparatif des programmes : l'éducation

24/06/2024 à 12:35 — 04m49s

À six jours du premier tour des élections législatives anticipées, RTL vous explique ce lundi 24 juin comment sont classés les candidats au scrutin. Ils sont 4.011 précisément sur la ligne de départ. Et il faut bien reconnaître que, par endroit, ça vire un peu au grand bazar.

Le journal RTL

RTL VOUS EXPLIQUE - Législatives : le capharnaüm des étiquettes politiques

24/06/2024 à 08:25 — 01m47s

Jordan Bardella a indiqué lundi qu'il souhaitait que Jean-Luc Mélenchon "vienne débattre" mardi sur TF1 face à lui et Gabriel Attal, en faisant observer que l'invitation de la chaîne avait été faite "aux candidats au poste de Premier ministre".

Le Premier ministre, Gabriel Attal, a lui aussi fait savoir qu'il souhaitait la présence du leader de La France insoumise, lequel a décliné. Le Nouveau Front populaire (NFP) sera réprésenté par le coordinateur de LFI Manuel Bompard mardi sur TF1 puis par le premier secrétaire du PS Olivier Faure jeudi sur France 2.

Un débat opposera jeudi soir sur France 2 le Premier ministre Gabriel Attal, le président du RN Jordan Bardella et le premier secrétaire du PS Olivier Faure, à trois jours du premier tour des législatives, a annoncé la chaîne lundi.

"Nous accepterons de constituer un gouvernement si nous avons une majorité absolue, je n'irais pas à Matignon par gloriole personnelle. Je veux le pouvoir pour l'exercer et pour l'exercer j'ai besoin d'une majorité absolue", dit Jordan Bardella.

"Je considère la Russie comme une menace multidimensionnelle à la fois pour la France et pour l'Europe. La Russie conteste aujourd'hui des intérêts français, depuis plusieurs mois, plusieurs années sur nos zones d'influence historique en Afrique, en mer Noire et aussi dans nos outre mer, en prenant fait et cause pour notamment pour les Comores", a déclaré Jordan Bardella.

Jordan Bardella, chef de file du RN pour les législatives, a proposé lundi "un big bang de l'autorité" à l'école "dès la rentrée de septembre". "Les téléphones portables seront interdits dans les établissements scolaires dont les lycées", "le vouvoiement des enseignants sera obligatoire et les expérimentations du port de l'uniforme sera poursuivie: je suis, à titre personnel favorable à son instauration à l'école primaire, mais aussi au collège", a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse à Paris.

"Je le dis solennellement à nos compatriotes: le Rassemblement national est aujourd'hui le seul mouvement à pouvoir mettre en oeuvre dès maintenant et raisonnablement les aspirations clairement exprimées par les Français. En trois mots, nous sommes prêts", a affirmé celui qui aspire à devenir Premier ministre à l'issue du scrutin des 30 juin et 7 juillet.

Après quelques moments de flottements qui ont donné des munitions à ses adversaires, notamment sur la promesse d'abroger la réforme des retraites, le président du Rassemblement national Jordan Bardella donne une conférence de presse pour dévoiler les grands axes du programme du RN.

Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a dit lundi craindre pour la "paix civile" en France si le Rassemblement national (RN) arrive au pouvoir à l'occasion des élections législatives anticipées. "Je crains pour l'ordre, oui", a déclaré M. Le Maire sur franceinfo, à la question de savoir s'il craignait pour la paix civile dans les prochaines semaines ou mois.

Trois candidats au second tour, c'est possible. En France, les élections législatives se déroulent en deux tours, et auront lieu, cette année, le 30 juin et le 7 juillet prochain. Pourtant, certains candidats parviennent à être élus dès le premier tour en obtenant plus de 50% des suffrages exprimés, à condition de représenter au moins 25 % des électeurs inscrits.

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politique

Législatives 2024 : qu'est-ce qu'une triangulaire ?

"S'il n'a pas de majorité absolue, Emmanuel Macron devra réfléchir à démissionner", selon Louis Aliot, vice président du Rassemblement national, invité de Sud Radio ce lundi. Il estime que "l'ensemble du peuple peut devenir le gouvernement, c'est ça la démocratie", affirmant ne pas avoir de doutes sur la capacité de Jordan Bardella à gouverner.

"S'agissant du Rassemblement national on a vu que la façade qu'ils avaient construite pour se présenter comme le parti du pouvoir d'achat des Français est en train de s'effondrer. Ils ne sont pas prêts à gouverner", dit Gabriel Attal sur Europe 1 ce lundi.

"Il faut qu'on gagne d'abord, c'est le premier objectif", a dit sur LCI Sandrine Rousseau, candidate écologiste-Nouveau Front Populaire. "Ce sera un nom unique qui sortira qui sera consensuel. Il faut raison garder", dit-elle.

"La première urgence, c'est d'éviter le RN", pas de savoir qui ira à Matignon, a jugé dans Le Monde lundi l'ex-secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, dont le nom avait été cité par Raphaël Glucksmann comme possible Premier ministre en cas de victoire de la gauche.

En cas d'échec, "je ne serai pas ministre de Jordan Bardella et de Jean-Luc Mélenchon", dit Gérald Darmanin. "Si les gens considèrent que je ne suis pas le bon porte-voix, je ne vais pas encombrer la vie politique", dit-il.

L’autre grande préoccupation des Français c’est le pouvoir d’achat. "J'ai essayé, je suis de Tourcoing, je rencontre les habitants tous les week-ends. Il y a un an, quand Emmanuel Macron a fait son choix de Premier ministre, il n'a pas choisi la ligne sociale que j'ai proposée. Je suis très attentif aux gens, je sais très bien qu'ils not du mal à s'en sortir", dit Gérald Darmanin. "Il faut écouter le peuple qui travaille et qui a du mal à s'en sortir".

Le ministre de l'Intérieur craint des tensions "à la rentrée" en cas de victoire du RN ou du NFP. "Chacun voit que c'est un peu grossier. Qui va payer ? Le peuple. La frustration et la colère sera encore plus grande".

La menace terroriste est très élevée. "La situation politique renforce le risque d’attentats", selon Jean-Charles Brisard, président du centre d’analyse du terrorisme. "Je ne crois pas. Ce qui est sûre, c'est que la France est une victime potentielle", rétorque Gérald Darmanin. Il explique que le soir des élections "il est possible qu'il y ait des tensions extrêmement fortes".

Le programme "de la France insoumise est extrêmement dangereux" pour notre sécurité dit Gérald Darmanin. "Ce qui est grave au RN c'est qu'on n'assume pas qu'on est en responsabilité politique", dit-il. "Quel que soit ce qu'aient fait les policiers et les gendarmes, je les ai toujours soutenus. Je ne prends pas les policiers, les gendarmes et les Français pour des idiots avec des slogans faciles. Jordan Bardella n'a jamais rien dirigé : cette grande inexpérience me fait personnellement extrêmement peur", dit-il.

Le ministre de l'Intérieur est revenu sur la lettre d'Emmanuel Macron aux Français. "Il y a une usure du pouvoir qui est normale. 10 ans de couple, c'est normal", dit-il.

En Guyane, plus vaste département de France, organiser des élections dans un délai aussi court que celui des législatives anticipées est un véritable défi logistique, tant pour les services de l'Etat que les mairies. À chaque élection, le matériel de vote (bulletins, enveloppes) est acheminé dans ces communes isolées par hélicoptères. "Notre mission est de s'assurer que chaque Français puisse disposer du droit de vote, fondamental en démocratie, y compris au fin fond de la forêt amazonienne", explique à l'AFP Gwenaëlle Coat, directrice de la citoyenneté à la préfecture de Guyane.

Promis, il y aura "un changement" : à une semaine du premier tour des législatives, Emmanuel Macron et ses troupes assurent que la gouvernance sera plus collaborative en cas de victoire, quand le Nouveau Front populaire s'embourbe dans la guerre des chefs pour Matignon.

"J'ai entendu que vous vouliez que cela change" : dans une lettre publiée dimanche soir dans la presse quotidienne régionale, Emmanuel Macron a tracé quelques perspectives pour l'après 7 juillet. Et quand bien même son camp se trouve en difficulté dans les sondages, il a juré d'"agir jusqu'en mai 2027", battant ainsi en brèche l'idée portée par certains de ses adversaires, Marine Le Pen en tête, qu'il soit contraint à la démission en cas de défaite.

Bonjour et bienvenue sur ce live. La course aux législatives se poursuit ce lundi, pour une dernière semaine de campagne avant le premier tour.

Aujourd'hui, Jordan Bardella présentera à 11 heures les grands axes du programme de "l'union nationale "voulue par le Rassemblement national, en présence de Marine Le Pen. Gabriel Attal est attendu à Dijon pour la campagne.