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Cinq personnes sont mortes lors de l'attaque à Strasbourg en 2018.
Crédit : SEBASTIEN BOZON / AFP
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Quatre hommes comparaissent lors du procès de l'attentat de Strasbourg, le 11 décembre 2018. Un seul se trouve dans le box, le principal accusé, jugé pour complicité de ces assassinats pour avoir aidé le terroriste à se procurer des armes. Il est vêtu d'une chemise blanche. Il s'est levé, a décliné posément son identité. Ses trois co-accusés comparaissent libres, la justice estime qu'ils ne savaient pas que l'arme qu'ils ont procurée à l'assaillant allait servir à un attentat.
Et puis la Cour a entamé ensuite l'étude des très nombreuses constitutions de partie civile. Elles sont 70 victimes à s'être fait connaître pendant l'instruction. Jeudi 29 février, plus d'une centaine de personnes cherchent à faire reconnaître leur traumatisme. Le ministère public a déjà fait savoir qu'il demanderait un tri au cas par cas. C'est-à-dire que tous ceux qui se sont trouvés dans le périmètre meurtrier du terroriste, blessés physiquement ou psychologiquement, seront reconnues victimes.
Néanmoins, toutes les personnes qui ont été confinées pendant des heures dans un restaurant ou dans un supermarché, qui ont subi un mouvement de foule, risquent bien de ne pas être reconnues sur ce statut ? Cela sera tranché à la fin de l'audience.
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