Les Parisiens horrifiés ont découvert hier dans une étude rendue publique que l'air était saturé lors du pic de pollution, en décembre dernier. On sait à présent que le taux de particules ultra-fines dans l'air était équivalent à celui d'une pièce de 20 m2 avec huit fumeurs à l'intérieur.
Ces particules méconnues jusqu'ici
seraient notamment présentes en quantité considérable dans les
rejets des moteurs Diesel. Ceux-là même devaient pourtant sauver le
monde, selon un documentaire des années 50.
Aujourd'hui, la mairie de
Paris veut bannir les vieux Diesel au profit des véhicules
électriques. Rappelons quand même que l'électricité en France
provient à 70% du nucléaire.
À choisir entre rouler en Diesel ou à l'électrique, il vaut mieux rentrer à pieds.
Cyprien Cini
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