Après les alertes à la bombe reçues par les lycéens parisiens dans la matinée du lundi 1er février et toute une série la semaine passée, c'est au tour des établissements lyonnais d'être la cible de ces coups de téléphone malveillants. Six établissements lyonnais ont reçu, ce lundi 1er février, des appels anonymes faisant état de la présence d'une bombe. Ce qui a entraîné l'évacuation temporaire de deux d'entre eux, selon la préfecture.
Seuls le lycée Edouard-Herriot et le collège Jean de Verrazane ont été évacués temporairement pour des inspections menées par la police. Un seul et même message préenregistré a été envoyé aux quatre lycées et aux deux collèges aux alentours de 9 heures.
Ces fausses alertes ont concerné les lycées Edouard-Herriot (6e arrondissement), Ampère (2e), Jean-Perrin (9e), la cité scolaire internationale (7e), ainsi que les collèges Henri-Longchambon (8e) et Jean de Verrazane (9e). Michel Delpuech, préfet du Rhône a appelé les personnels des établissements scolaires à faire preuve de "sang-froid." Lors de ces alertes, les lycéens peuvent être confinés, réunis dans une pièce particulière ou encore dans la cour, en fonction des plans particuliers de mise en sécurité propre à chaque bâtiment.
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