On refait le monde, avec :
Annet Sauty de Chalon, journaliste et
animateur à l’antenne de Radio Notre-Dame,
Julien Damon, professeur de sociologie
à sciences Po et chroniqueur aux Échos,
Clémentine Autain, directrice de la
rédaction du mensuel Regards,
Xavier Couture, producteur de
télévision.
L'ouverture des journées d'été du parti Europe Ecologie-Les Verts (EELV) à Bordeaux a été marquée par les controverses autour du livre de Cécile Duflot, une des grandes figures du parti. Cet ouvrage est une critique violente qui attaque François Hollande et Manuel Valls.
Le livre a recueilli de vives
réactions, notamment de la part de certains parlementaires écologistes qui dénoncent "un manque
d'élégance" venant de l'ancienne ministre du Logement. Ces
polémiques pourraient diviser le parti écologiste et remettre en
cause son appartenance à la majorité parlementaire.
Annet Sauty de Chalon ne semble pas
inquiet pour le sort du parti écologiste. Selon lui, les Verts sont
capables de rebondir et de trouver leur intérêt quelle que soit la situation.
Les Verts sont les as de l'opportunisme politique.
Annet Sauty de Chalon, journaliste et animateur à l’antenne de Radio Notre-Dame
De son côté, Clémentine Autain prédit un "éclatement" du parti EELV qui est "tiraillé par deux stratégies opposées".
Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur a affirmé sa volonté de faire de l'immigration clandestine une priorité pour le gouvernement. Depuis le début de l'année, plus de 150 réseaux d'immigration clandestine ont été démantelés, soit 20% de plus par rapport à l'année 2013.
Le gouvernement se trouve-il sur la
bonne voie dans sa lutte contre l'immigration clandestine ?
Suite à la diffusion choquante de la vidéo mettant en scène l'exécution du journaliste américain James Foley,
les États-Unis ont continué leurs frappes aériennes dans le Nord
de l'Irak. Malgré ces attaques, la stratégie militaire de la
Maison Blanche est remise en question car Barack Obama semble livrer une guerre
"du bout des doigts".
Le président américain doit-il intensifier son action ?
La vente des médicaments à l'unité
va être testée dans les régions Île-de-France, PACA, Limousin et
Lorraine. Devant l'appel à candidature lancé par les quatre
régions, les pharmaciens ne se sont pas bousculés pour participer à
l'expérience. Leur représentant estime que les coûts de cette
mesure reviendraient trop cher.
Faut-il encourager les pharmaciens à
la vente de médicaments à l'unité ?
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