Des rebondissements mais une affaire toujours aussi mystérieuse. Depuis la disparition de Delphine Jubillar dans la nuit du 15 et du 16 décembre 2020, les auditions et les gardes à vues s'enchaînent mais "il n'y a pas de solution", selon Jean-Alphonse Richard.
Le présentateur de l'Heure du Crime sur RTL rappelle que le but des enquêteurs est "d'obtenir un mot, une phrase, une virgule qui permette de dire que c'est bien Cédric Jubillar le coupable". Mais toujours rien qui puisse amener l'ex-compagnon de Delphine devant une cour d'assises. "Cela ressemble au crime parfait car on a ni coupable, ni corps, ni aveu", rappelle-t-il en faisant référence à ces mots que Cédric Jubillar aurait eus auprès de certains proches.
Il ajoute qu'à l'heure actuelle "on a une construction intellectuelle" des enquêteurs selon laquelle la pression serait tellement montée chez Cédric Jubillar qu'il aurait pu commettre ce crime. En effet, Jean-Alphonse Richard cite divers événements qui se sont passés la veille de la disparition de Delphine comme le fait qu'elle ait appelé ses amies pour annoncer qu'elle se séparerait de Cédric après Noël, qu'elle ait prévenu son amant de sa décision ou qu'elle ait supprimé ses codes d'accès bancaires sachant que Cédric avait besoin de 400 euros par mois pour acheter son cannabis.
Toutes ces potentielles révélations auraient pu être "la goutte d'eau qui a fait déborder le vase" chez Cédric Jubillar.
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