L'ancien patron du 36, quai des Orfèvres, Bernard Petit, soupçonné d'avoir violé le secret d'une enquête judiciaire voit sa défense mise à mal par de nouveaux éléments compromettants. Des relevés de téléphone, des notes montrent qu'il était en contact permanent avec un confrère qu'il renseignait sur le déroulement de l'enquête en question : l'affaire Rocancourt.
Bernard Petit assure ne pas connaître Philippe Lemaître, secrétaire d'une association de la police, mais les deux hommes se sont contactés à 511 reprises. Un bout de papier retrouvé dans l'appartement du secrétaire avec les mots "Petit" et "pognon" griffonnés dessus interpellent les enquêteurs, qui se demandent si l'ancien patron du 36 n'aurait pas touché de l'argent en échange de ces informations.
En perquisitionnant le bureau de Bernard Petit, la police a trouvé un mémo de sept pages d'arguments écrit à la main pour préparer sa défense. La preuve qu'il savait sa mise en examen inévitable.
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