Vladimir Poutine est la cible d'un mandat de la Cour pénale internationale. Il est présumé responsable "du crime de guerre de déportation illégale de population", des enfants ukrainiens, a déclaré vendredi 17 mars la Cour pénale internationale. Selon les autorités ukrainiennes, 16.000 enfants ont ainsi disparu de leur pays.
Le président de la CPI, Piotr Hofmański, précise : "Le droit international interdit à la puissance occupante de transférer des populations civiles du territoire où elles vivent vers un autre territoire. Les enfants bénéficient d'une protection spéciale de la convention de Genève." Mais, suite au lancement de ce mandat d'arrêt, Vladimir Poutine pourrait-il être arrêté ?
C'est le cas, en théorie : les pays signataires de la Cour pénale internationale (CPI) vont recevoir le mandat d'arrêt visant le président russe. Rappelons que ni la Chine, ni la Russie, ni les États-Unis ne sont signataires de la CPI. Les pays qui la reconnaissent pourraient appliquer le mandat d'arrêt si Vladimir Poutine voyage sur leur territoire. Rien ne les oblige cependant. La mesure est avant tout symbolique, et peut-être la première d'une longue série.
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