Il s'agit de la première apparition publique du roi Charles III depuis le mois de février. Après trois mois de repos forcé, le monarque a été autorisé par les médecins à reprendre ses activités publiques. Mardi 30 avril, il a donc rendu visite à des malades dans un hôpital.
"L'hymne britannique a changé : ça n'est plus God save the king, mais Couche-confiance save the king", souligne Philippe Caverivière. "Charles va bien, il s'est promené les traits tirés, mais toujours les oreilles au vent. On a beaucoup de compassion pour ce Roi : 70 ans avant de faire le job, paf, il tombe malade. Et comme il n'avait jamais bossé, c'est quasiment un cancer pédiatrique".
"Pour sa première sortie, le roi a justement choisi de se rendre dans un centre spécialisé contre le cancer", indique l'humoriste. "Il a raison : il faut combattre le mal par le mal. C'est un peu comme si après l'accident de Diana, il avait visité un concessionnaire Mercedes."
"Sans prostate", Charles "a perdu une grande partie de son contrôle urinaire", ce qui "facilite grandement le travail des gardes du corps du roi qui peuvent littéralement le suivre à la trace", conclut Philippe Caverivière.
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