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Valérie Trierweiler fait pression sur François Hollande, en pleine visite au Mexique
Alors que François Hollande est au Mexique, Valérie Trierweiler a plaidé la cause de Maude Versini, dont les enfants sont retenus là-bas par son ancien compagnon. Elle a demandé à la diplomatie française d'agir.
Encore un tweet de Valérie Trierweiler embarrassant pour François Hollande. Cette fois-ci, l'ex-première dame apporte son soutien à Maude Versini, cette mère de famille qui souhaite récupérer ses trois enfants enlevés par leur père au Mexique, alors que le président François Hollande se trouve en visite dans ce pays d'Amérique latine.
"Je soutiens Maude Versini (@MaudeVersini) qui n'a pas vu ses 3 enfants depuis 847 jours, retenus par leur père au Mexique. Aidons la. La diplomatie française (@francediplo) doit agir", écrit l'ex-Première Dame :
Valérie Trierweiler "a beaucoup aidée" Maude Versini
"Je suis très contente du soutien de Valérie Trierweiler, il m'est précieux", a déclaré jeudi Maude Versini à Europe 1.
L'ex-première femme française "Valérie Trierweiler m'a beaucoup aidée, elle m'a reçue à deux reprises à l'Elysée", a souligné Maude Versini. "Elle était très sensible à cette affaire, elle m'avait dit à l'époque qu'elle essaierait de partir avec François Hollande au Mexique pour ce voyage".
Il n'a peur de rien et se sent au-dessus des lois
Maude Versini à propos de son ex-mari
"Je me bats contre mon ex-mari Arturo Montiel, qui a été gouverneur de l'Etat de Mexico, immensément puissant et parrain politique du président actuel du Mexique", a dit Maud Versini. "Il a été classé dans Forbes comme le 7e homme le plus corrompu d'Amérique Latine : il n'hésite pas à user de toutes ses influences, à acheter des juges, il n'a peur de rien et se sent au-dessus des lois".
"Mes droits sont violés"
"J'ai vraiment espoir que ce voyage soit pour moi la solution, et que François Hollande me ramènera mes enfants !", a dit Maud Versini en accusant les magistrats mexicains de lui avoir "interdit un droit de visite". "J'estime que mes droits sont violés, la convention de La Haye bafouée", a-t-elle dit. "Ce n'est plus du tout une affaire privée !".
