Le pouvoir en place "s'est très vite incliné"
Les rebelles, menés par les islamistes, ont pris la capitale Damas dans la nuit de samedi à dimanche après seulement dix jours d'une offensive fulgurante. Émilie Baujard, spécialiste du Proche-Orient à RTL, rappelle qu'ils ont pu compter sur l'"appui d'autres factions sur un arsenal militaire assez conséquent et sur le repli de l'armée de Bachar al-Assad".
Le pouvoir en place "s'est très vite incliné". Le Premier ministre s'est dit maintenant prêt à discuter "avec tout nouveau leadership". Un appel qui a été entendu "par le chef des rebelles qui a demandé à ses hommes de ne pas s'approcher des bâtiments publics jusqu'à une passation officielle du pouvoir".