Le journal de 7h : Cuba rend un dernier hommage à Fidel Castro

Les Cubains étaient rassemblés par milliers samedi soir à Santiago de Cuba pour rendre un dernier hommage à Fidel Castro. Une semaine après le décès de l’ex-dirigeant, la place de la révolution était bondée. Son frère Raul Castro a assuré dans un discours vouloir "défendre la patrie et le socialisme". Fidel Castro "a démontré que cela est possible, qu'on peut renverser tout obstacle, menace, soubresaut dans notre détermination à construire le socialisme à Cuba".

Dimanche, les restes de l'ex-président seront enterrés au cimetière Santa Ifigenia de Santiago, à côté du mausolée de José Marti, le héros de l'indépendance de Cuba. Ces funérailles qualifiées de "simples" par Raul Castro se tiendront à l'abri des caméras des médias étrangers. Elles scelleront la fin du deuil national de neuf jours décrété après le décès de Fidel Castro. Un décès inattendu, malgré son âge, et qui a eu l'effet d'un choc pour des Cubains qui en grande majorité n'ont connu que les Castro.

À écouter également dans ce journal

- Deux mois après l’agression de deux policiers à Viry-Châtillon, deux adolescents ont été arrêtés samedi, l’un d’entre eux a été mis en examen. Soupçonné d’avoir préparé l’attaque, il n’y aurait pas participé.

- Les habitants de la ville du Tallian-Médoc protestent ce dimanche. La circulation est infernale dans le centre, en raison d’un passage très fréquenté par les camions entre le Médoc et Bordeaux. L’axe sera coupé.

- Noël approche à grands pas, c’est le moment de se pencher sur l’achat des cadeaux et de préparer le fameux sapin. Comme le reste, lui aussi subit des tendances.

- Le match Metz-OL a été interrompu samedi soir à la 31e minute de jeu en raison de jets de pétards depuis les tribunes. Le gardien lyonnais Anthony Lopes a été touché et transporté à l’hôpital. Le club de Metz s’expose à de sévères sanctions.
- Le PSG a pris une grosse claque samedi avec une sévère défaite à Montpellier (3-0). C’est déjà le troisième revers de la saison pour les Parisiens, qui sont "passés au travers" selon les mots de Blaise Matuidi.