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Des migrants sur une embarcation en janvier 2020 (illustration)
Crédit : Handout / TURKISH DEFENCE MINISTRY / AFP
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En Grèce les recherches se poursuivent après le pire drame en Méditerranée depuis 2016. Le naufrage d'un bateau de pêche surchargé au large de Péloponnèse a fait au moins 78 morts, mercredi 14 juin. D'après les témoignages de la centaine de personnes qui ont pu être secourus en mer, ils auraient été 750 à s’entasser sans gilets de sauvetage sur le chalutier.
Depuis l'aube, les gardes côtes, la marine et l'armée grecque ont déployé tous les moyens pour ratisser cette zone située dans les eaux internationales, à 87 kilomètres des côtes grecques du Péloponnèse. Or plus le temps passe, moins il y a d'espoir de retrouver des survivants. Stavros, un bénévole de Kalamata joint par téléphone est sous le choc.
"Je suis venu tout de suite aider, j'étais horrifié. Beaucoup de corps, beaucoup de personnes secourues, une situation difficile. Ils ne parlent pas l'anglais et sont très jeunes, 17-18 ans, tous désespérés", raconte-t-il.
Au même moment, la polémique enfle sur le rôle de Frontex. Ces agents européens de surveillance des frontières ont vu le chalutier surchargé bien avant le drame et ont d'ailleurs proposé leur aide, qui aurait été refusée par les passeurs. Mais une question se pose : n'auraient-ils pas dû les aider pour éviter cette tragédie inédite ?
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