Une belle pasta, très simple à base de deux ingrédients de base : les poireaux et le jambon italien d’entre Haut Adige et Sud Tyrol, le speck. Il peut en effet rappeler un lard fumé, mais c’est bel et bien un jambon sec, dont on peut faire de petits lardons si vous demandez à votre charcutier de vous en tailler une tranche un peu épaisse, dans les 2mm.
Avec quatre tranches fines et un bon couteau, vous allez en faire des lamelles quasi translucides. On va donc prendre des penne ou des orechiette, dans les 400g pour quatre personnes, deux poireaux pas trop gros que vous allez tailler en sifflets, très fins, avant de les rincer soigneusement. Vous taillez maintenant un petit oignon rouge en petits dés, vous pressez une gousse d’ail et vous allez à présent faire revenir tout cela, à la sauteuse, les oignons, l’ail et les poireaux à l’huile d’olive à feu doux.
Ensuite, vous ajoutez une superbe dose de crème fleurette, dans les 40cl, vous rectifiez à peine en sel mais vous y allez généreusement en poivre noir du moulin, vous ajoutez une pincée de muscade, puis vous récupérez une louche de l’eau de cuisson des pâtes. Vous détendez un peu votre crème, et au dernier moment, vous les transvasez les pâtes, à peine égouttées, dans la sauteuse, vous mélangez soigneusement. Ajoutez les lamelles de speck à la fin et vous servez cela bouillant, avec la bonne dose de parmesan fraichement râpé.
Tout le monde connait le perce-neige, ces clochettes blanches qui s’ouvrent en hiver. Elles fleurissent tous les ans à la même époque, quel que soit la température. Ce petit bulbe a un cycle de végétation qui l’avantage. Il pousse, fleurit et murit en hiver, quand la plupart des autres plantes dorment. À l’inverse, quand le soleil réveille le jardin au printemps, il disparait sous terre et ses petits bulbes dorment jusqu’à l’hiver suivant.
Comme il pousse quand les autres dorment et qu’il dort quand les autres poussent, il n’a pas de concurrence. Il peut donc manger et boire tout ce qu’il veut. Que la terre soit pauvre ou pas, peu importe parce qu’elle est toute pour lui. En plus, comme il est au repos en été, la sécheresse ne l’atteint pas. Un perce-neige a juste besoin de lumière. Et en hiver, comme la majorité des arbres et arbustes a perdu son feuillage, il y a de la lumière partout.
Il pousse dans tous les emplacements qui sont bien visibles en hiver et caché le reste du temps. Par exemple, sous les arbres et arbustes qui perdent leur feuillage pendant la saison froide. Si l’arbuste garde son feuillage en hiver, on ne le plante pas dessous, mais devant. Une haie de Thuyas avec un liseré blanc sur fond vert, c’est quand même plus gai qu’une muraille verte. Le perce-neige est aussi précieux dans les plates-bandes de fleurs vivaces qu’on taille à ras en hiver, comme les phlox, les asters, les rudbeckias.
Le tissu est à l’honneur en ce moment à Paris avec Paris Déco Off, une manifestation pour vous inciter à aller visiter les showrooms de éditeurs de tissus. Chez Kvadrat, vous pourrez voir du tissu qui bouge et qui emprisonne le son.
Derrière le tissu, il y a une mousse extra absorbante pour capturer le son et des leds reliés à une caméra, du coup quand vous passez, votre image se retrouve sur le tissu. On ne vous voit pas précisément, c’est plutôt une ombre colorée.
La maison Le Crin tisse à la main en France depuis 1787 du crin de cheval, qui vient de crinière et de queue des chevaux de Mongolie. C’est doux comme de la soie, associé avec d‘autres tissus, cela donne une matière très solide pour des stores, des voilages, des tissus d’ameublement magnifiques. Pour la collection du printemps, des motifs végétaux, beaucoup d’oiseaux et de couleurs pastel, et aussi une tendance street art. Pas mal de propositions en relief avec du tissu gaufré. Passez chez Dominique Picquier rue Charlot voir sa collection en lin vert. En plus c’est du total made in France.
La manifestation Paris Déco Off se déroule de la rive droite à la rive gauche du 21 au 25 janvier 2016. Et comme chaque année, me parcours est indiqué par 140 lanternes en lin.
Un retrogamer, comme son nom l’indique, est un joueur rétro, quelqu’un qui veut jouer sur une console ou sur un ordinateur qui n’est plus sur le marché. Il y a même des spécialistes qui parlent de "playhistoire", référence à la Playstation 1, mise sur le marché en 1995.
Quand on est retrogamer, on collectionne la cartouche avant tout. C’est elle qui stocke les données des jeux. Elle a été remplacée peu à peu par les cd dans les années 1990 puis par le téléchargement à partir du début du siècle. Ce qui rend la cartouche un peu plus rare et recherchée.
Les jeux les plus populaires sont aussi ceux qui ont été les plus édités donc ceux que l’on trouve le plus souvent sur les brocantes, et donc les moins chers. Les plus connues sont Nintendo, Sega, Atari, etc. Mais il peut y avoir des pièces rares, des prototypes tirés à très peu d’exemplaires dont les prix peuvent s’envoler.
En général, on peut toutefois trouver une console Nes de Nitendo pour une cinquantaine d’euros au maximum et les cassettes se chinent entre 1 et 5 euros selon leur état.
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