Le cas de Benjamin
Benjamin gère une société de surveillance. En 2017, une association le contacte pour lui proposer de s’occuper de la sécurité d’un évènement national dans sa région. Après avoir pris connaissance des différents détails, il fait signer un devis à l’organisme concerné en juin 2018. Puis, du 27 juillet au 7 août, il assure la prestation comme convenu. L’association lui règle la première facture de 28.033 € en octobre avec du retard. En revanche, la deuxième qui équivaut aux prestations du 1er au 7 août reste impayée. Le président lui explique le 21 novembre dans un SMS qu’il ne peut plus rien régler pour le moment car il doit encore percevoir une partie des subventions promises par les collectivités territoriales. Quand il relance, les versements doivent toujours arriver la semaine suivante.
Si vous voulez témoignez : le facebook de CPVA ou laissez un message sur rtl.fr
Commentaires
Afin d'assurer la sécurité et la qualité de ce site, nous vous demandons de vous identifier pour laisser vos commentaires.
Cette inscription sera valable sur le site RTL.fr.