Mauvaise passe pour General Electric, qui limoge brutalement son PDG. L'usine française de Belfort est bloquée, et le tableau global n'est pas encourageant. La maison-mère américaine fait face à l'effritement accéléré de ce qui a été l'un des plus beaux outils industriels de la planète.
En 2000, General Electric valait 600 milliards de dollars. Aujourd'hui, c'est à peine 100 milliards. Il y a une descente aux enfers qui est à la fois économique, financière, mais aussi morale. L'entreprise a même été exclue du Dow Jones. Une dégringolade qui se traduit forcément par des conséquences dans les usines et sur l'emploi.
General Electric avait racheté Alstom pour 12 milliards en 2015. À l'époque, les centrales à gaz avaient le vent en poupe, et Alstom fabriquait les turbines. Mais le marché du gaz s'est effondré et a transformé cette bonne idée en cauchemar. Les prix s'effondrent, la demande et faible et l'offre trop forte.
Pour l'usine de Belfort, il est peu probable que le gouvernement monte au créneau. L'accord entre General Electric et le gouvernement de ne pas toucher à l'emploi prend fin au 1er janvier. Les 400 emplois sont donc sur la sellette.
Peugeot Scooters va changer de nom et devient Peugeot Motocycles, un nom de 120 ans qui revient à la grande histoire de Peugeot.
14/20 à Gita Gopinath. Cette Américaine d'origine indienne devient la première cheffe économiste du FMI. Désormais, la recherche économique du Fonds monétaire international, de la Banque mondiale et de l'OCDE est commandée par des femmes.
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