Comme chaque premier dimanche du mois à Belfort, entre mars et décembre, le plus grand marché au Puces d’extérieur de l’Est de la France. Mais surtout, demain, ces Puces vont fêter leurs 50 ans ! Qui ne connaît pas Belfort, en profitera pour visiter la ville : il faut voir le fameux Lion bien sûr, mais aussi la Citadelle, entre autres. Et comme les Puces ont la bonne idée de s’installer au cœur de la Vieille Ville, place de l’Arsenal et toutes les ruelles autour, vous n’aurez aucune excuse pour ne pas admirer les lieux.
Il y aura vraiment des exposants particuliers pour cet anniversaire. Beaucoup de régions y sont représentées, avec leurs objets si typiques, comme ceux de la Forêt Noire. Il y a des chances aussi de trouver pas mal d’objets militaires…mais évidemment des meubles en bois, jouets anciens, revues et magazines du XIXe et XXe siècle, verres en cristal, solex, taxidermistes, etc… il y aura de tout !
Il n’y a qu’un une seule chose à retenir, c’est qu’elles soient petites ou grosses, vos coques, il faut aller très vite, dans une grande gamelle chauffée à bloc, pour leur conserver à la fois leur moelleux et leur tonicité, leur parfum salin qui peut être très puissant. Le temps que vous préparez des coques dans un esprit un peu méditerranéen, on va utiliser ces espèces de petites pâtes qu’on appelle les "gnocchetti sardi", les petits gnocchis sardes, qu’on trouve facilement dans le commerce.
Vous partez sur une très bonne conserve de tomates en dés, que vous faites réduire doucement avec ail, oignon, thym, romarin, huile d’olive et un soupçon de concentré de tomates. Vous ouvrez vos coques, vous les retirez à l’écumoire et vous les tenez au chaud entre deux assiettes, puis vous filtrez délicatement leur jus dans la sauce tomate, au cas où il resterait du sable dans le fond.
Ensuite, au dernier moment, vous faites fondre quelques gros bouts de Soubressade piquante (saucisse catalane) dans la sauce. Vous touillez, vous la faites fondre, vous rajoutez les coques et les "gnocchetti sardi" cuits et égouttés dans la grande gamelle, vous mélangez rapidement et vous passez d’urgence à table
C’est un géranium sauvage qui pousse dans les monts des Hottentots, en Afrique du Sud. Le géranium tomentosum. Et il est un cousin proche de nos géraniums des balcons. C’est le plus enivrant des géraniums cultivés pour leur parfum. De ces géraniums-là, il y en a une dizaine d’espèces et de variétés. Des poivrés, des citronnés...
On le plante maintenant, il pousse vite et devient somptueux dès l’été. Comptez 50 cm de diamètre en pleine terre et presque autant en pot. Un peu d’eau de temps en temps. Et de l’engrais pour géranium des balcons s’il est en pot. En hiver, on le rentre dans une pièce froide et lumineuse, comme les autres géraniums.
Marck Van Weert, Hollandais comme son nom l’indique, travaillait dans la maçonnerie, voyait tout ce gaspillage et a commencé à récupérer des palettes pour en faire du mobilier. Ses copains ont voulu les mêmes, puis les copains des copains et finalement il a laissé tomber la maçonnerie pour créer Bopalett, sa société qui est à Saint-Rémy-de-Provence.
Il faut de tout pour la décoration intérieure et extérieure. Des meubles pour l’intérieur : des tables, des buffets, des meubles télé, des fauteuils cubiques, il a réinterprété le fauteuil club en version palette. On n’est pas chez un bricoleur du dimanche puisqu'il a déjà une formation d’ébéniste, c’est beau, la qualité est au rendez-vous.
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