Sébastien Thoen est venu raconter sa soirée avec "celui qui va faire tout péter dans pas très longtemps". Il ne s'agit pas de Vladimir Poutine, mais "l'autre forcené, celui qui a la moustache. J'étais avec Philippe Martinez, le patron de la CGT, et clone officiel de Gilles Lellouche et Jean Benguigui", raconte l'humoriste.
"On s'est retrouvés dans un snack porte de Montreuil, j'ai dévoré un sandwich kebab sauce samouraï et hépatite A, pendant que Philou, en bon syndicaliste, démontait sa sixième merguez frites de la journée", poursuit-il. "Philou, il sait que c'est un peu la lutte finale dans le sens où c'est le combat de sa vie. Il joue sa vie là, il est à fond. Il me fixe et me dit 'Seb, on va gagner, la réforme ne passera pas. Toi aussi rejoins le combat'", dit Sébastien Thoen.
"Déjà que moi le principe de travail me dépasse, alors imagine celui de la retraite. C'est dur pour moi de me positionner", dit-il.
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