Le journal 8h : la SNCF mise en examen après la mort d'une jeune fille

La SNCF et Réseau Ferré de France sont tous deux mis en examen pour homicide involontaire après la mort d'une jeune fille fauchée par un train. Le 2 juillet 2010 une jeune fille était fauchée par un train alors qu'elle traversait la voie dans la petite garde d'Audrieu dans le Calvados, une voie non sécurisée. "C'est un soulagement mais (...) ma fille est morte...Mais personnellement j'avais besoin d'entendre qu'on mettait en examen pour homicide involontaire, pour moi c'est une reconnaissance que Justine est morte de façon évitable", témoigne sa mère. Aujourd'hui une passerelle a été mise en place pour éviter aux voyageurs de passer sur la voie. 

A écouter également dans ce journal

- Une solution au conflit en Syrie doit passer par un dialogue avec Bachar al-Assad, a affirmé mardi un député français, arrivé à Damas en compagnie de deux autres élus pour y rencontrer le président syrien.

- Les autorités françaises n'ont rien à voir avec la fuite des deux pilotes dans l'affaire Air Cocaïne, a rappelé Stéphane Le Foll sur RTL. Les deux citoyens français ne seront pas extradés, a-t-il ajouté.  

- Les agriculteurs ont témoigné leur colère au ministère de l'Agriculture envers les industriels de la viande qui selon eux, profitent des accords signés à l'été dernier avec la grande distribution pour augmenter leur marge. L'absence de Jean-Paul Bigard, le patron de la marque du même nom lors de cette table-ronde a renforcé l'exaspération des éleveurs qui appellent ce mercredi au boycott pur et simple de ses produits.

- Le président de la Côte d'Ivoire Alassane Ouattara, 73 ans, a été réélu dès le premier tour de l'élection présidentielle du 25 octobre pour un mandat de 5 ans

À lire aussi

Air Cocaïne

Affaire "Air cocaïne" : encore des mystères au cœur de la saga judiciaire ?

- Le groupe français Deezer, un des pionniers du streaming musical, a annoncé mardi soir le report sine die de son introduction en Bourse prévue mercredi, et grâce à laquelle il espérait lever 300 millions d'euros. Le groupe a invoqué dans un bref communiqué des "conditions de marché" défavorables, sans plus d'explications.