En Direct
2 min de lecture
Des joueurs de l'équipe de France de hockey lors du Mondial, dimanche 14 mai 2017.
Crédit : Petr David Josek/AP/SIPA
Je m'abonne à la newsletter « Sport »
Les hockeyeurs français échouent aux portes des quarts de finale du Mondial. Défaits 5-2 par la République tchèque, dimanche 14 mai, les Bleus ont quitté Paris-Bercy par la petite porte. L'infime espoir de qualification avant le match Suisse-Finlande en soirée s'est vite évaporé avec la victoire des Nordiques (3-2). Ils disputeront donc pour l'honneur leur dernière rencontre ce lundi face à la Slovénie.
Les Français peuvent toutefois être fiers d'un tournoi qu'ils termineront avec trois ou quatre victoires, dont la plus belle, sur la Finlande (5-1). Cette série de succès constitue une première dans l'histoire de leur sport. Cerise sur le gâteau : leur objectif prioritaire, le maintien en première division, a été obtenu deux matchs avant la fin. "Si on nous avait dit qu'on serait en position de finir avec dix points, on aurait signé tout de suite", s'est d'ailleurs consolé le défenseur Yohann Auvitu. Mais évacuer la frustration d'avoir brillé contre les grandes nations du hockey, comme la Finlande et la Suisse, pour chuter contre les plus faibles prendra du temps.
On est tombé sur un grand gardien qui a fermé la porte
Dave Henderson, entraîneur des Bleus
Contre la République tchèque, les Français n'ont pas démérité non plus. Loin de là. Ils ont perturbé le jeu de passes très technique de leur rival, une des grandes nations du hockey, six fois championne du monde. Mais ils n'ont pas assez concrétisé leurs nombreuses occasions pendant les "jeux de puissance", les périodes de supériorité numérique. "On est tombé sur un grand gardien qui a fermé la porte", a reconnu l'entraîneur Dave Henderson.
Les Bleus étaient encore à égalité 1 à 1 au milieu du deuxième tiers-temps. Stéphane Da Costa avait égalisé grâce à un magnifique slalom près de la cage tchèque. Le deuxième but tchèque leur a mis un "coup de massue", selon les mots d'Auvitu. L'avant Michal Repik franchissait tout juste la porte de la "prison" où il venait de passer quatre minutes d'infériorité numérique très pénibles pour son équipe, lorsqu'il a reçu le palet et trompé le gardien Florian Hardy. L'équilibre de la rencontre n'a plus changé pendant les trente dernières minutes. Le deuxième but français, inscrit sur une contre-attaque par Antoine Roussel pour revenir à 2-4 à dix minutes de la fin, n'a pas suffi à relancer le suspense.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte